NBA – « Le sexe dans la bulle ? Les joueurs n’avaient pas leurs femmes, mais ils… »

La superstar NBA des Los Angeles Lakers, LeBron James (gauche), a remporté son 4ème titre de champion dans la bulle d'Orlando
NBA (DR)

Période unique dans l’histoire, la bulle d’Orlando a non seulement vu le sacre de LeBron James et des Lakers, mais aussi la naissance de feuilletons olé-olé. Les stars concernées avaient soi-disant un système bien ficelé pour satisfaire leurs besoins intimes !

Publicité

Face à la crise sanitaire sans précédent de l’époque, la ligue n’avait d’autres choix que d’employer les grands moyens. Suite au hiatus observé durant la saison 2019-20 à cause du Covid-19, la NBA a décidé de poser temporairement ses valises dans l’enceinte de Disney World. Un lieu parfait pour poursuivre son cours tout en respectant une quarantaine obligatoire, mais qui contraignait ses membres à de gros sacrifices.

Privés de sexe dans la bulle, la parade lunaire des joueurs NBA

Soudainement bousculés dans leurs habitudes, les joueurs ont presque rejoint la bulle d’Orlando à contre-cœur pour certains. En effet, un tel isolement impliquait certes un retour du basket, mais aussi de nombreuses restrictions. Éloignés notamment de leurs compagnes, ils ont ainsi été obligés à observer une période d’abstinence sexuelle de quelques semaines, voire mois. C’était cependant sans tenir compte de leur ruse :

Publicité



Marcus Thompson de The Athletic, au sujet de l’adaptation des joueurs concernant le manque de sexe dans la bulle : « J’ai entendu dire que certains ont trouvé des solutions. Les joueurs n’avaient pas le droit d’emmener leurs femmes, mais ils ont fait venir des masseuses assez sexy. Il y en a quelques unes qui, vous savez… sont entrées dans la bulle par la porte de derrière de ce qu’on m’a dit. »

Publicité

Une rumeur caliente qui s’est par la suite confirmée avec le cas polémique de Danuel House Jr., dont les actes inconscients ont conduit à son exclusion de la bulle. Également présent sur place avec les Blazers, C.J. McCollum s’est pour sa part fendu d’un témoignage qui corrobore cette version dans les colonnes de GQ :

On était là, dans la bulle, à devenir fous, et le taux de testostérone crevait le plafond. Personne n’avait pu amener sa moitié, mais on savait que les gars célibataires faisaient des dingueries comme ils avaient l’habitude de le faire en temps normal. Du coup, il y avait beaucoup de tension et de stress.

Une situation des plus incongrues, qui aura beaucoup amusé Kevin Durant malgré son absence sur blessure !

Publicité

Parmi les privations auxquelles ont dû faire face les joueurs NBA dans la bulle d’Orlando, celle de relations intimes a semble-t-il pesé lourd. À tel point que ces derniers ont préféré mettre en péril leur santé, et possiblement leur couple !

Déclarations NBA 24/24

Les dernières actus