Quand certaines stars de la NBA accordent une énorme importance à leur alimentation, d’autres ingurgitent à peu près tout ce qu’ils veulent, aussi gras cela puisse être. Demandez plutôt à un gros nom des Timberwolves, immense fan… de chips !
Leur série de victoires s’arrêtera donc à trois. Sur une bonne dynamique dernièrement, les Timberwolves se sont toutefois inclinés à domicile face aux Kings, ce lundi (111-118). Une rencontre durant laquelle Anthony Edwards se sera malgré tout démené pour empêcher la défaite de son équipe. Avec 33 points, 8 rebonds et 5 passes, le jeune ailier peut au moins se satisfaire d’avoir prolongé sa belle forme individuelle :
Anthony Edwards over the last 6 Games:
— Hoop Central (@TheHoopCentral) January 31, 2023
44 PTS – 6 REB – 4 AST – 50% 3P
31 PTS – 3 REB – 5 AST – 60% 3P
37 PTS – 6 REB – 5 AST – 40% 3P
25 PTS – 7 REB – 7 AST – 60% 3P
34 PTS – 10 REB – 6 AST – 71% 3P
33 PTS – 8 REB – 5 AST – 4 3PM
🔥🔥🔥 pic.twitter.com/3U1WwKkScA
Le fol aveu d’Edwards sur sa consommation de chips
En l’absence de Karl-Anthony Towns, blessé depuis le mois de novembre, Edwards a véritablement pris les rênes de son équipe. Ses remarquables moyennes de 24.9 points, 6.1 rebonds et 4.5 passes en attestent, et viennent confirmer son statut de superstar en devenir. Une superstar extrêmement gourmande et fan… de Cheetos, comme elle l’a récemment révélé lors d’une interview accordée à GQ Sports :
Anthony Edwards eats about 21 bags of Hot Cheetos Fries a week 👀 @Timberwolves pic.twitter.com/nn9muAFvgg
— GQ Sports (@GQSports) January 30, 2023
J’en mange depuis que j’ai peut-être 5 ans ! Je les préfère à n’importe quels autres chips dans le monde. Je m’en enfile 3 paquets par jour, quelque chose comme ça. Vous n’avez qu’à faire les calculs pour trouver le ratio par semaine. Ça fait quoi, 21 paquets ? Ouais, sûrement autant que ça. Peut-être même plus en fait, pour de vrai. Ça dépend de la longueur de mes journées !
Une confession qui semble beaucoup amuser Ant’, mais qui risque d’avoir un tout autre effet chez ses coéquipiers. Towns risque notamment de lui reprocher ce régime indigne d’un sportif de haut niveau, comme il l’avait déjà fait il y a quelques mois, lorsque son jeune coéquipier témoignait son amour des fast foods. Jeune et insouciant, ce dernier parvient heureusement à se faire pardonner sur les parquets !
Qui a dit qu’il fallait forcément manger sainement pour dominer la concurrence en NBA ? Anthony Edwards prouve encore une fois le contraire, même s’il parait fort probable qu’il se fasse taper sur les doigts à cause de sa passion pour les Cheetos !