James Harden s’est fendu de plusieurs dingueries durant son passage à Houston, qui ont parfois laissé pantois ses coéquipiers. Une star a notamment raconté une anecdote assez folle sur The Beard récemment, alors que ce dernier était sur le point d’être tradé à Brooklyn.
James Harden est un cas assez polarisant au sein de la NBA, car il agace autant qu’il émerveille les fans et observateurs. D’un côté, l’arrière des Sixers dispose de l’un des plus gros bagages offensifs jamais vus sur un parquet et est capable de dingueries absolues, lui qui est en tête du classement des meilleurs passeurs en 2022-23. De l’autre cependant, son comportement et notamment sa vie extra-sportive ne sont pas pour plaire à tous.
En effet, The Beard est très grand adepte de la night life, fréquentant énormément de strip-clubs et de boîte de nuit. Il a même son maillot retiré dans une enseigne de ce genre du côté de Houston, une ville connue pour sa scène nocturne. Il pouvait alors y faire ce qu’il voulait, d’autant qu’on accédait à toutes ses requêtes dans la franchise étant donné qu’il envoyait du lourd match après match. Autant dire que ses nuits étaient pour le moins mouvementées.
L’anecdote folle de John Wall sur James Harden
Mais lorsqu’est venu le temps de vouloir s’en aller, le MVP 2018 allant même jusqu’à réfusé de jouer pour forcer son transfert, on ne peut pas dire que son attitude ait changé. John Wall, qui a débarqué aux Rockets peu de temps seulement avant son trade vers les Nets, en a d’ailleurs gardé un souvenir assez mémorable qu’il a récemment relaté sur le podcast Tidal League. Encore aujourd’hui, le dragster a du mal à s’en remettre.
John Wall called his tenure with the #Rockets « beyond trash » and wasn’t happy with how James Harden handled it when he arrived in Houston. pic.twitter.com/lpTFpXNqZi
— ClutchFans (@clutchfans) January 17, 2023
J’y vais en pensant que James sera là quand je serai échangé, mais il veut déjà partir. Quand j’ai atterri, je lui dit genre : « Quoi de neuf ? Je suis sur le point d’atterrir. Je dois aller faire ma conférence de presse ». Il m’a dit : « Je vais à Atlanta pour l’anniversaire de Lil Baby ». C’est quoi ce bordel ? Il me dit ensuite : « Tu veux monter dans le jet avec moi ? » Mec, je viens d’être échangé ici. Je ne peux pas merder. Je dois être en bons termes avec tout le monde. Je ne sais pas comment est le propriétaire, comment est le GM. Je ne sais rien du tout.
Ce n’est pas comme si j’étais à Washington, et si j’étais là-bas, j’aurais dis : « Oui, je viens avec toi. C’est mon show ». Il n’est pas venu au camp d’entraînement, rien de tout ça. Ces nouvelles étaient toutes toxiques pour moi, qui n’avait pas joué depuis deux ans. Ma mère est morte, mon tendon d’Achille s’est rompu, puis il y a eu la covid-19. Je me suis dit : « Je me fous de savoir qui joue ou pas, je veux juste jouer au basket ».
On peut féliciter J-Wall pour sa résolution… Malheureusement, cette histoire lui a rapidement donné un aperçu du calvaire qu’il allait vivre dans le Texas, lui qui a fini au placard à cause de la reconstruction des Rockets. Tout ça alors qu’il pensait jouer avec James Harden…