puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Michael Jordan a dominé la NBA pendant des années durant, mais même lui a dû faire face à plus fort que lui à ses débuts. Une légende en particulier s’était attirée l’admiration inconditionnelle de His Airness, au point où ce dernier le considérait comme étant sans le moindre défaut. Les mots sont forts.
Michael Jordan a gagné pas moins de six titres au cours des années 90, et qui sait combien il en aurait raflé de plus s’il n’avait pris ses deux premières retraites au cours de la même décennie. mais s’il a donc écrasé la concurrence en NBA durant cette période, ce fut une autre histoire au cours des années 80 où il a fait ses débuts en pro. S’il n’a pas atteint le stade des Finales avant 1991, c’est aussi parce que la concurrence à l’Est était extrêmement rude…
On pense entre autres aux Bad Boys de Detroit et leurs fameuses Jordan Rules afin de stopper les Bulls et leur arrière superstar, mais leurs plus grands rivaux étaient surtout les Celtics de Larry Bird. L’ailier et ses coéquipiers ont traumatisé Chicago plus d’une fois, même lorsque His Airness leur plantait 63 points dessus un soir de playoffs 1986. Insuffisant pour empêcher un sweep, notamment grâce au triple MVP au sommet de son art. Même Jordan devait alors s’incliner devant autant de greatness.
Michael Jordan ultra-admiratif de Larry Bird
Interrogé par le Chicago Tribune en 1987, MJ n’avait ainsi pas tari d’éloges sur l’ailier bostonien, louant notamment son QI basket :
Il ne peut pas sauter, et il n’est pas rapide. Mais vous ne pouvez pas augmenter votre détente ou votre vitesse de déplacement. Il compense en utilisant sa tête, en analysant l’adversaire. Cela le rend meilleur que la concurrence. Par conséquent, il n’a pas de faiblesse.
S’il avait effectivement le physique d’un plombier comparé aux standards NBA, Larry Legend était cependant un magicien de la balle orange. Son QI basket, sa capacité à détruire les schémas tactiques des adversaires ainsi que sa technique sont encore légendaire à ce jour. Comme Mike l’expliquait il y a encore quelques années de ça, il le considère même comme potentiellement meilleur que LeBron James, se montrant soufflé par la polyvalence du n°33 :
Larry Bird has repeatedly proclaimed Michael Jordan to be the greatest player ever. So has Jerry West.
— AirJordans23 (@AirJordans2323) December 26, 2022
But Jordan has never proclaimed himself to be better than Bird, and said Bird is the greatest small forward ever and should absolutely should be in the GOAT conversation. https://t.co/vs860c3q7q pic.twitter.com/Z3sozRwcoJ
Les gens me demandent tout le temps qui sont mes cinq meilleurs joueurs de tous les temps et quand je commence à dire Larry Bird, ils m’arrêtent. Ils disent, « tu te moques de moi, LeBron James est meilleur que lui ! » Je leur dis, « vous ne comprenez pas. Larry est bien meilleur que n’importe quel ailier qui ait jamais joué, et pour être honnête, je ne sais toujours pas s’il est un ailier ou un ailier fort ».
Larry Bird était absolument injouable durant ses meilleures années, clairement l’un des meilleurs basketteurs de tous le temps. Si Michael Jordan l’a appris à ses dépens, ses nombreuses batailles avec le Bostonien lui ont également inculqué un immense respect pour ce dernier.
