Comme chaque été, Evan Fournier doit se réhabituer à la vie en France et à certains aspects du quotidien. Sur les réseaux sociaux, il s’est par exemple agacé contre certaines personnes sur les routes, ce qui lui a valu une réponse méprisante d’un journaliste de RMC. Sa répartie a été géniale.
Evan Fournier est dans l’Hexagone depuis plusieurs jours déjà, mais comme chaque été, la période d’adaptation prend du temps. Après avoir passé 10 mois à New York, une ville si particulière à bien des égards, l’arrière tricolore doit se réhabituer à la vie en France, aux Français et à leurs attitudes. Sur les réseaux sociaux, il s’est notamment emporté contre différents types de « conducteurs ».
A Paris, qui méritent le plus un gros carton:
— Evan Fournier (@EvanFourmizz) July 7, 2022
Evan Fournier répond à une nouvelle star de RMC !
Contrairement à la Big Apple, où la circulation est particulièrement fluide malgré les millions d’habitants, les rues de Paris peuvent être frustrantes pour tout le monde, avec des bouchons récurrents mais aussi quelques incivilités. Le problème, c’est que l’expression « gros carton » associée à des moyens de transport est assez violente, ce qui n’a pas manqué d’énerver le journaliste de RMC Nicolas Jamain.
Vous allez cartonner qui ? Quoi ? Avec quoi ? Votre SUV ? C’est peut-être vous qui allez le plus vous faire cartonner ici. A vouloir générer du clic, on finit par tweeter n’importe quoi…
— Nicolas Jamain (@nicojamain) July 7, 2022
Après l’attaque méprisante de la skieuse et chroniqueuse Marie Martinod, Evan Fournier a une nouvelle fois été ciblé par une personnalité de RMC, ce qui doit commencer à le frustrer. Il parlait sans doute d’un carton dans le sens sportif du terme, son message a été interprété comme s’il souhaitait des accidents à certains, ce qui ne justifiait pas forcément une réponse si clichée. L’arrière des Bleus a tenu à rétablir une vérité avec une réponse exceptionnelle.
Je roule en Mégane bouffon
— Evan Fournier (@EvanFourmizz) July 7, 2022
Non, Evan Fournier ne souhaite pas d’accidents graves aux cyclistes de Paris ou à ceux qui prennent des trottinettes électriques, il parlait sans doute d’un carton jaune ou rouge, pour les avertir de la dangerosité de certains comportements. Un tel déferlement n’était pas nécessaire.