Alors que les Wolves ont dominé une bonne partie du match contre les Grizzlies, ce sont bien les coéquipiers de Ja Morant qui s’imposent à l’arrivée. De quoi ravir le meneur, surtout après le manque de respect de ses adversaires. Son troll après la partie ? Magistral.
Après la gagne au Game 2, les Grizzlies devaient se rendre à Minnesota pour un Game 3 important. Le vainqueur pouvait prendre l’avantage dans cette série, et faire accessoirement le plein de confiance. Pendant trois quarts-temps, les coéquipiers d’Anthony Edwards ont fait le show, à l’image de Patrick Beverley. Mais un match, c’est 48 minutes, et non 36.
Le karma punit les Wolves !
Résultat, Ja Morant et les siens ont profité des 12 dernières pour se réveiller, et complètement assommer Minnesota avec un run de 37-12. Victoire finale 104-95, qui permet à Memphis d’avoir le sourire. C’est encore plus vrai après cette vidéo de Karl-Anthony Towns, en plein match, alors que son équipe dominait.
LMFAOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO pic.twitter.com/QIRys1e6Oj
— Ghost 🇬🇾 (@GhostFaceDrizzy) April 22, 2022
On est à Minnesota maintenant. Comme j’ai dit aux médias, c’est cool, maintenant on peut revenir à la maison.
Faire le malin alors que le match n’est pas terminé ? Mauvaise idée pour Towns, puisque les Wolves ont perdu à la maison. De quoi amuser Morant, qui a vu la séquence :
we in minnesota now 🙂 https://t.co/p9JPRp3wvB
— Ja Morant (@JaMorant) April 22, 2022
On est à Minnesota maintenant 🙂
Un simple smiley qui en dit long sur la satisfaction de Ja, et pour cause, le meneur termine en prime avec un triple-double : une première pour son équipe.
Ja Morant tonight:
— StatMuse (@statmuse) April 22, 2022
16 PTS
10 REB
10 AST
The first triple-double in Grizzlies playoff history pic.twitter.com/QvgDVTCTHZ
Ja Morant ce soir : 16 points, 10 rebonds, 10 passes. C’est le premier triple-double en playoffs dans l’histoire des Grizzlies.
La victoire, le troll et un record : soirée réussie pour Ja Morant, qui peut avoir le sourire. Attention cependant, la série n’est pas terminée, puisqu’il reste encore deux victoires à aller chercher. Ça commence dès le Game 4, histoire de clouer le bec à Karl-Anthony Towns.