puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Période à jamais unique dans l’histoire de la NBA, la bulle d’Orlando a vu le 18ème sacre de champion des Lakers. Un membre de l’équipe de l’époque vient d’ailleurs de confesser… que la weed coulait à flots dans les installations de Disney World !
Les fans qui auront vécu ce moment de légende peuvent en être quasiment certains : ils ne reverront pas ça de leur vivant. Face à la pandémie naissante de Covid-19, la NBA avait dans un premier temps décidé d’interrompre sa saison, une première dans son histoire. Ce hiatus aura finalement duré plus de quatre mois, avant que le quotidien de la ligue ne reprenne son cours… à Orlando.
Envoyées dans une bulle sanitaire, les 22 équipes encore en passe de se qualifier pour les playoffs avaient alors dû s’habituer à un contexte extrêmement particulier, qui les voyait coupées de tous contacts extérieurs. Isolés, les joueurs concernés ont alors dû vivre plusieurs semaines extrêmement compliquées sur le plan mental, et trouver des parades pour ne pas sombrer psychologiquement. L’une d’elles aurait été… la drogue.
Smith cash sur la consommation de drogue dans la bulle
Peu de temps avant que ne reprenne ce fameux exercice 2019-20, la ligue a annoncé ne plus compter tester et sanctionner ses membres pour leur usage de cannabis. Une décision révolutionnaire, qui a visiblement laissé place à un gros laisser-aller. C’est en tout cas ce qu’a affirmé l’expert en la matière J.R. Smith durant sa récente apparition dans All The Smoke !
Matt Barnes : Question. Étant donné que c’est en quelque sorte légal maintenant en NBA — et tu n’as pas à mentionner de noms, est-ce qu’il y avait de l’herbe qui tournait dans la bulle ?
J.R. Smith : Oh ouais. Ça tournait de fou là-bas.
Matt Barnes : T’en fumais ? Je le savais !
J.R. Smith : C’était la seule solution qu’on avait pour fonctionner dans ce truc.
Grâce à ses vertus apaisantes, la marijuana en aurait donc aidé plus d’un, dont Smith, à traverser cette période de confinement, qui aura au total duré plus de trois mois pour les Lakers et le Heat, finalistes cette année-là. Un temps traumatisé par cette expérience, J.R. l’évoque aujourd’hui avec beaucoup plus de détachement et de satisfaction.
C’était cool. Je suis content que ce soit arrivé, parce que ça a enfin permis de briser cette barrière et ce préjugé comme quoi tu n’étais pas capable de jouer et tout ça, que c’était une drogue, que c’était ci et ça. Dans la bulle, certes, c’était presque comme des matchs d’entrainement et certains n’arrivent pas à jouer aussi bien devant 30.000 personnes, mais en même temps, ça jouait vraiment bien au basket.
C’est sans doute ce constat qui a poussé Adam Silver et ses adjoints à maintenir depuis cette politique libérale au sujet de la weed.
Enfin libérés de toutes contraintes par rapport à l’usage de cannabis, les joueurs en auraient bien profité dans la bulle d’Orlando selon J.R. Smith. Le connaissant, le fantasque arrière n’a pas dû laisser sa part aux chiens !
