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Sur les parquets ce mercredi soir, du côté des Wolves, les Lakers ont pris une nouvelle fessée en déplacement. Minnesota était déterminé à l’idée de prendre cette victoire, à l’image de Karl-Anthony Towns. Insulte pour LeBron James, moquerie sur Russell Westbrook : le pivot ne rigolait pas.
En grande difficulté ces dernières semaines, les Lakers continuent avec la même équipe, tandis que Frank Vogel refuse de prendre une décision concernant Russell Westbrook, ou d’autres joueurs d’ailleurs. Personne ne sera donc surpris d’apprendre que ce roster a encore perdu ce mercredi soir, cette fois-ci contre les Wolves, sur le score de 104-124.
La terrible déroute collective des Lakers !
Une victoire aisée pour Minnesota, une franchise qui avait à coeur de prendre la victoire. Dès le début de la partie, l’énergie était là, contrairement aux Angelinos, qui ne sont pas capables de fournir les efforts nécessaires. On a rapidement vu tout ça avec Karl-Anthony Towns, qui s’est mis à insulter LeBron James après une simple action et un violent « bitch ass n**** ».
— Rob Perez (@WorldWideWob) March 17, 2022
Espèce de lavette
Mais Towns ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Après quelques insultes sur LeBron, il s’est vengé sur Russell Westbrook, pas très apprécié dans ce roster non plus. En cause ? Sa relation tendue avec Patrick Beverley, puisque les deux hommes ne s’aiment pas. À l’arrivée, la sanction est immédiate.
Pour mieux comprendre, il faut tout simplement revenir sur un énorme airball de Westbrook à trois points, et pourtant seul dans le corner. Une preuve de plus qu’il n’est pas un shooteur, et Towns lui a fait comprendre. Pas besoin d’expliquer sa réaction, tout le monde aura le message :
KAT after this Westbrook airball. 💀💀
— Hoop Central (@TheHoopCentral) March 17, 2022
pic.twitter.com/hgasieyRBm
C’est très irrespectueux oui de la part de Towns, qui à l’image des Wolves, avait une folle envie de détruire les Lakers dans cette partie. Les franchises sont en mission contre l’équipe californienne, et ça se voit. Tant pis pour les hommes de Frank Vogel.
