NBA – Le nombre de femmes avec lesquelles Magic Johnson couchait chaque jour

S’il y a bien un joueur qui a profité de la folie de Los Angeles dans les années 1980 (et qui en a payé le prix), c’est Magic Johnson. Un coéquipier du meneur aux Lakers durant cette période a notamment révélé une journée « type » pour le Hall of Famer durant sa carrière NBA. Et ça a de quoi laisser bouche bée..

Quand Magic Johnson a quitté son Michigan natal à l’issue de son cursus NCAA pour débarquer à Los Angeles au début des années 1980, il a connu l’un des changements les plus brutaux qui soient. De la grisaille du Midwest au soleil de Californie, de l’anonymat à la gloire la plus totale, le meneur a croqué la vie à pleines dents durant les années 1980.

Son truc à lui ? Les femmes. Partout, tout le temps. Une véritable addiction dont le quintuple champion NBA a parlé à de multiples reprises après son diagnostic au VIH en 1992, qui a précipité sa fin de carrière. Trois décennies après, Magic est en pleine forme, mais les histoires sur son légendaire appétit sexuel demeurent…

Matin, midi et soir : la folle routine de Magic Johnson avec les femmes

Ron Carter, brièvement passé par les Lakers lors d’une carrière de joueur pas franchement mémorable, se souvient de l’hérésie sexuelle qui régnait chez les pourpres et ors version Showtime :

C’était de la folie. C’était une équipe de gigolos, et Magic était le plus gros d’entre eux. Pas juste le plus gros de l’équipe, le plus gros que j’ai jamais vu de ma vie. Il aimait les femmes plus que tout. Un jour, on était sur la route ensemble et je lui ai demandé : « Mais quand est-ce que tu dors ? Tu dors des fois au moins ? »

On débarquait à un hôtel dans une nouvelle ville, et il y avait 2 ou 3 femmes qui l’attendaient spécifiquement à chaque fois. Il couchait avec, puis les virait de la chambre. Un peu plus tard dans la journée on avait entrainement, et il y avait 2 ou 3 femmes supplémentaires. Même chose. Puis après le match le soir, encore 2 ou 3. C’était incroyable.

Vous l’aurez compris : Magic Johnson « consommait » près d’une dizaine de femmes par jour – des chiffres qui feraient presque pâlir le maitre en la matière, Wilt Chamberlain. Pour le meneur des Lakers, il s’agissait là de sa seule échappatoire, lui qui n’avait pas d’autres addictions. Carter résume :

Earvin ne fumait pas, ne buvait pas, et ne touchait pas à la drogue. Son vice, c’était les femmes.

Magic Johnson a vécu sa version du rêve américain durant une décennie de folie, de gloire, d’argent, de succès et de sexe. Avant de devenir, en conséquence de ce mode de vie, l’un des visages les plus marquants de la lutte contre le sida.