Alors que la deadline se termine ce jeudi, les Lakers explorent de très nombreuses pistes afin d’améliorer leur roster. L’une d’entre elles mène vers les Knicks, avec un deal possible. Reste à savoir ce que les Angelinos veulent céder, mais attention à un échange entre ces deux franchises.
Nous y sommes : ce jeudi 10 février, c’est la deadline. Avant la fermeture pour 21h, attendez-vous à beaucoup de grabuge dans la ligue. On attend de multiples trades, surtout pour les prétendants au titre, qui vont vouloir se renforcer en vue des playoffs. Pour d’autres, c’est le moment de se réveiller avec l’apport d’un nouveau joueur.
Ça tombe bien, les Knicks et les Lakers se retrouvent dans les deux catégories. Ces équipes ont clairement besoin d’un trade, histoire de tenter quelque chose pour cette seconde partie de saison. Evan Fournier est d’ailleurs cité sur le départ, même s’il faut encore trouver un partenaire, mais il n’est pas concerné par la dernière rumeur en date.
Le vétéran souhaité par les Lakers afin de se relancer !
Les Knicks ont mis beaucoup de joueurs sur le marché, tous selon certaines sources (à l’exception de RJ Barrett). Fournier n’est pas le seul concerné, puisque Alec Burks devrait également plier ses bagages. C’est justement lui qui plaît beaucoup aux Angelinos, qui passeront quelques coups de fil dans la journée selon Marc Berman, du NY Post.
Il y a tellement de chemins que les Knicks peuvent emprunter. Les Lakers ont un intérêt pour Alec Burks, puisque les dirigeants cherchent un moyen de libérer une place pour Cam Reddish.
Burks, sauf surprise, changera donc d’équipe avant la deadline. Les Angelinos ne sont pas les seuls intéressés, et les Knicks veulent donner la priorité aux jeunes, comme Reddish ou encore Obi Toppin. Le vétéran de New York a déjà fait mal aux Pourpre et Or, ce qui peut expliquer cet intérêt :
Alec Burks peut rajouter une équipe de plus dans sa ligne de mire : les Lakers. La franchise est intéressée par ses services, mais la concurrence est relativement forte dans cette dernière journée. Impossible de savoir où le vétéran va atterrir.