Phénomène physique absolument all-time, LeBron James n’en finit plus d’impressionner par ses prouesses athlétiques. La dernière en date nous a donné un sacré shot de nostalgie, puisqu’elle rappelle trait pour une autre remontant à plus d’une décennie ! C’est complètement fou…
Auteur de 24 points dans la victoire en prolongation de LA face aux Mavs (107-104), LeBron James a une nouvelle fois rendu une belle copie. Néanmoins, ce n’est pas tant sa performance globale qui a marqué les esprits, mais plutôt ses coups d’éclats individuels. En l’occurrence, son énorme contre (finalement refusé) sur Jalen Brunson a fait le tour de la toile lors du premier quart-temps :
LeBron James fait du… LeBron James version 2009
Une action de grande classe, surtout pour un joueur de 37 ans. Ça en dit long sur ses qualités athlétiques folles ! Ce qui est cependant encore plus dingue, c’est que l’action en question apparaît comme un copié-collé d’un block du King… datant de 2010, et un match contre les Blazers. Hasard du calendrier, on n’était même pas loin de l’anniversaire de cette séquence (11 décembre 2009, 15 décembre 2021) ! Il avait alors violemment repoussé un assaut de Brandon Roy :
Almost exactly 12 years between these two plays 👑🐐 pic.twitter.com/hH3g4ARIt7
— LeBron History 🏀 (@bronhistory) December 16, 2021
Là, on commence à avoir du mal à trouver les mots pour parler du Chosen One. Plus d’une décennie plus tard, alors qu’il a bien vieilli et que son corps montre des signes de fatigues depuis quelques mois, le bonhomme montre toujours la même explosivité et la même détente que pendant son prime. Un constat ahurissant, et qui rassure sur sa capacité à jouer pendant encore un moment. Du côté des fans, on est en tout cas abasourdi :
still getting up the exact same 😂 sickening
— Old Man James 🤴🏿 (@2013LeBronJames) December 16, 2021
Le mec a toujours le même jump qu’avant 😂 c’est à en rendre malade
Il y a de quoi être jaloux de LeBron James, qui ne répond visiblement pas de la même façon aux lois de la nature que nous. Avoir une telle détente alors qu’on approche de la quarantaine, c’est indécent… et la preuve du travail qu’il abat au quotidien sur lui-même.