puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Chaud bouillant depuis le début de saison, Steph Curry a de la concurrence, et on ne parle pas de Kevin Durant ! Ce lundi soir, c’est Jonas Valanciunas qui a pris feu, avec un carton derrière l’arc.
Alors que les Warriors brillent sur ce début de saison, c’est le cas de Steph Curry, qui est sur un véritable nuage. Mais le meneur n’est pas le seul à impressionner, puisqu’il vient d’être rejoint dans l’histoire par un étonnant joueur : Jonas Valanciunas. Ce dernier est entré en fusion ce lundi soir, et ce sont les pauvres Clippers qui en ont fait les frais.
L’incroyable carton de Jonas Valanciunas, qui détruit les Clippers !
Décidément, les hommes de Tyronn Lue n’ont pas beaucoup de chance. Quand ce n’est pas Curry qui prend feu, c’est Valanciunas lors du match suivant. Ses stats ? 32 minutes, 39 points à 15/24 au tir, dont 7/8 à trois points, 15 rebonds, 3 passes et 2 interceptions. Le meilleur dans tout ça ? Il a commencé par un 7/7 derrière l’arc en une mi-temps : un véritable sniper.
Un match complètement fou pour le pivot, qui permet à New Orleans de gagner sur le score de 123-104. Une boucherie à Los Angeles, et un bon succès pour les Pelicans, qui pointent à un bilan de 6/17. Ce n’est pas fameux, mais c’est une amélioration, toujours sans Zion Williamson. Au passage, l’ancien Grizzlie en profite pour rejoindre Curry dans l’histoire, rien que ça.
Jonas Valanciunas is the 6th player since play-by-play tracking began in 1996-97 to go 7-7 on 3-pointers in a half.
— ESPN Stats & Info (@ESPNStatsInfo) November 30, 2021
The others are Trevor Ariza (2014), Stephen Curry (2013), Ben Gordon (2012), Shawne Williams (2011) & Raef LaFrentz (2005). pic.twitter.com/JFv6nRL7GV
Jonas Valanciunas est le 6ème joueur de l’histoire à scorer 7/7 à trois points en une seule mi-temps. Les autres sont Trevor Ariza (2014), Stephen Curry (2013), Ben Gordon (2012), Shawne Williams (2011) et Raef LaFrentz (2005).
Gros match de la part de Jonas Valanciunas, qui ne pouvait rien manquer durant cette première mi-temps contre de pauvres Clippers, sans solution face à lui. Il y a des soirs comme ça où tout va : tant mieux pour les Pelicans, qui en avaient besoin.
