Au cours de son illustre carrière, Michael Jordan a victimisé d’innombrables joueurs. Focus sur 5 d’entre eux, que l’histoire retient comme les plus martyrisés par Sa Majesté dans ses années glorieuses.
Compétiteur maladif, Michael Jordan ne se contentait pas de battre ses adversaires : il voulait les écraser, et s’assurer de hanter leurs cauchemars pendant de longs mois. La plupart du temps, c’était bien réussi, et les 5 noms qu’il a accrochés à son tableau de chasse ci-dessous en sont la preuve…
5. Clyde Drexler
Au début des années 1990, un débat agitait le petit monde de la NBA : qui est le meilleur arrière entre Michael Jordan et Clyde Drexler ? La question offensait particulièrement MJ, qui s’est assuré de régler l’affaire, notamment lors des Finales 1992. « The Glyde » ne s’en est jamais vraiment remis, et reste amer lorsqu’il évoque le divin chauve à ce jour.
4. Craig Ehlo
Bourreau de Cleveland au début de son grand run, Michael Jordan a signé certains de ses shoots les plus mythiques sur le pauvre Craig Ehlo. « The Shot », notamment, avec la photo du joueur des Cavs s’écroulant en arrière-plan (voir ci-dessus), est passé à la postérité.
3. Bryon Russell
Y a-t-il besoin d’en parler ? Bryon Russell est à tout jamais celui qui a glissé sur le mythique ultime tir de Jordan sous un maillot des Bulls, lors du Game 6 des Finales 1998. Pire ? Il a aussi subi un buzzer-beater de Sa Majesté lors des Finales 1997. Définitivement et pour toujours, MJ est son chat noir.
2. John Starks
Ceux qui les ont vécues n’ont pas oublié les batailles féroces et âpres entre les Bulls et les Knicks dans les années 1990. Grande gueule n’ayant pas peur de se mesurer à MJ, Starks est parfois passé proche de faire vaciller Michael Jordan. Mais à chaque fois, inlassablement, Sa Majesté l’emportait.
1. Toni Kukoc
Aux JO 1992, Michael Jordan et Scottie Pippen se sont jurés de faire vivre à Toni Kukoc la pire expérience de sa vie sur un parquet. Mission accomplie. Plus tard, le Croate a su gagner le respect de MJ, les deux hommes sont devenus amis, et c’est le GOAT qui a intronisé T-Kuk au Hall of Fame. Une happy ending comme on les aime.