Si Damian Lillard connait un début de saison compliqué sur les parquets, le meneur des Blazers reste actif sur les réseaux sociaux. Récemment, il a ainsi répondu à LeBron James et Anthony Davis après leurs propos récents sur Carmelo Anthony.
Tout va bien pour Carmelo Anthony. A plus de 37 ans, l’ancien des Nuggets s’est encore offert une belle nuit de scoring face aux Cavaliers, et tourne désormais à près de 16 points de moyenne sur l’ensemble de la saison. Une vraie production significative qui ravit évidemment les fans des Lakers, mais aussi (et surtout) un certain LeBron James.
Grand ami de Melo, qui est avec lui le seul rescapé de la Draft 2003, le King avait tenu à rappeler il y a quelques jours que « plus personne ne voulait Melo ». Des propos alors appuyés par Anthony Davis, et qui ont trouvé leur réponse en la personne de Damian Lillard.
Le message habile de Lillard après les commentaires de LeBron et Davis
Sur Twitter, Dame DOLLA a en effet liké le tweet ci-dessous, qui consiste en un extrait sans équivoque lorsqu’on s’intéresse aux paroles :
Lebron: “Nobody wanted Melo”
— Blazers Palace (@blazers_palace) October 29, 2021
Literally Dame: pic.twitter.com/gwrvsFa6vB
LeBron : « Personne ne voulait plus Melo »
Littéralement Dame : « Je ne peux pas sauter de partout comme dans un pogo, Melo est au SoHo (club privé de LA, ndlr), toujours là à pull-up de logo. Mon n**** pour la vie, ils ont essayé de le tenir loin de la ligue mais on lui a fait signer le deal »
Il est vrai que ce sont les Blazers, avec l’aval de Lillard, qui ont mis fin à la traversée du désert de Carmelo Anthony il y a quelques années. C’est dans l’Oregon que le numéro 3 de la Draft 2003 a pu se relancer tranquillement, montrer qu’il en avait encore sous le capot, et désormais briller à Los Angeles. La preuve avec ses 24 pions face à Cleveland dans la nuit de vendredi à samedi :
Damian Lillard ne veut pas laisser LeBron James et Anthony Davis s’attribuer le monopole de Melo : le meneur des Blazers a été le premier à le faire revenir, au moment où c’était le plus risqué, et il ne veut pas que ce soit oublié.