Trois ans après leur duel pour la ceinture des poids légers UFC, Khabib Nurmagomedov et Conor McGregor poursuivent une guerre à distance. L’Irlandais se place à l’origine de la dernière salve de balles, avec plusieurs tweets injurieux envers The Eagle et ses proches !
Ils ne se lâcheront décidément jamais. Comme cela est généralement la tradition à chaque joute UFC, Conor McGregor et Khabib Nurmagomedov se sont échangés quelques mots doux avant leur duel au sommet, en 2018. Remporté par le combattant russe, celui-ci n’a toutefois pas mis un terme à leur embrouille. Au contraire, puisque leurs attaques mutuelles ne se sont jamais révélées aussi violentes qu’actuellement !
Ces dernières heures, c’est bel et bien Khabib qui a relancé les hostilités, avec un tacle totalement gratuit posté sur sa story Instagram. Jamais le dernier pour répondre à ce genre de trash-talking, The Notorious a livré une réaction digne de ses standards sur Twitter, avant de la supprimer. Là n’est cependant pas le seul message d’insulte qu’il a fait disparaitre. Il s’en est en effet pris à son ancien bourreau… sur son mariage !
C’est un consanguin puant.
Sa femme, c’est sa cousine.
Comment expliquer l’angle de ces assauts, qui accusent le Daghestanais d’entretenir une union consanguine ? Pas besoin d’aller chercher bien loin, puisque CMG leur a lui-même apporté du contexte. Dans un autre tweet, accompagné d’une capture d’écran de… Google, il relaie un article indiquant que les mariages consanguins sont assez fréquents au Daghestan.
Conor McGregor souhaite la mort du manager de Khabib
Cette pique envers Khabib, qui a bien amusé McGregor, n’a pas été du goût du manager de The Eagle, Ali Abdelaziz. S’en est suivi un vif échange entre les deux hommes.
Ali Abdelaziz : C’est reparti pour les insultes envers la nation et la religion des gens. Ce n’est pas marrant. Mon rêve, c’est de te rencontrer en personne.
Conor McGregor : Je te déteste frérot. Je célèbrerai ta mort.
Khabib Nurmagomedov aurait visiblement mieux fait de ne pas provoquer Conor McGregor. Déchainé, l’Irlandais a multiplié les coups bas… avant de tout supprimer. Trop tardivement pour que la toile n’en garde pas trace !