Attendu au tournant cette saison avec le Jazz, Rudy Gobert espère bien goûter au titre, aux côtés de Donovan Mitchell. Alors pas question de chômer pour le Français, qui semble très en forme à l’aube de la reprise.
La rentrée, c’est dans moins de deux semaines en NBA. Les franchises s’apprêtent à retrouver le chemin des parquets avec le camp d’entraînement, un événement très attendu par les coachs. C’est l’occasion de travailler les automatismes, en vue du long marathon de 82 matchs qui arrive.
Les Lakers seront suivis de près, eux qui ont beaucoup de nouvelles têtes. On pense à Russell Westbrook, Carmelo Anthony ou bien DeAndre Jordan. Tous ces nouveaux joueurs devront s’acclimater rapidement, car ils n’auront que quelques semaines pour être au niveau.
Mais à l’Ouest, on va suivre aussi de près les prestations du Jazz, frustré l’an dernier en playoffs par les Clippers. Donovan Mitchell espère encore franchir un cap, tandis que Rudy Gobert aura une importance colossale dans la raquette. S’il veut se faire respecter en tant que leader, il devra montrer l’exemple, et ça commence par éteindre les meilleurs pivots.
Récemment, le Français avait terminé en force dans un classement évoquant les meilleurs poste 5 de la ligue. De bon augure pour la suite, même si Gobert veut être LE meilleur pour aider son équipe à remporter une bague. Pas question de chômer durant l’été donc, comme il le montre avec une photo partagée sur Twitter.
⛓⛓⛓ #unleashed pic.twitter.com/36FTNzCgzh
— Rudy Gobert (@rudygobert27) September 19, 2021
Pas de doute, Gobzilla est plus costaud. Ce sera idéal pour rivaliser avec Joel Embiid et compagnie, et plus que jamais martyriser les raquettes adverses avec ses dunks. Mais s’il veut aider Utah, il devra aussi être capable d’élargir sa panoplie offensive. On est curieux de voir ce qu’il nous réserve d’autres.
À la vue de cette simple image, on comprend que Rudy Gobert n’est pas resté les bras croisés durant l’été. Il a passé du temps à la salle, déterminé à remporter une première bague dans sa carrière. C’est le mal qu’on lui souhaite, même si la concurrence est plus que jamais importante en NBA.