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Le problème d’avoir un parent professionnel des sports de combat, c’est qu’il faut s’adapter à sa personnalité généralement bien trempée. Dans la famille d’un grand champion des rings, les prétendants doivent même enfiler les gants pour avoir le droit à un rencard avec ses filles. Objectif ? Tenir trois rounds !
Vous voulez des nouvelles de Deontay Wilder ? Il s’entraine et attend avec impatience son troisième combat contre Tyson Fury. Il vient aussi de se ridiculiser dans une vidéo « motivation » plutôt gênante et sans grand intérêt pour le public :
S’il ne peut strictement rien faire contre la vague de moqueries qui déferle sur les réseaux sociaux, il a quand même remis un peu d’honneur sur son nom dans une récente apparition sur le PBC Podcast. Au moment d’évoquer ses enfants, qui sont au nombre de 5, il a glissé une déclaration sauvage au sujet de ses trois filles (dont la plus grande à 15 ans). De quoi refroidir d’entrée certains prétendants.
Deontay Wilder : J’ai des enfants géniaux, je n’ai aucuns problèmes. Mais j’ai dit à toutes mes filles : si vous avez des petits copains, il faut que je les rencontre. Ils doivent faire un sparring d’au moins trois rounds contre moi pour que je sache s’ils sont capables de les protéger.
Le boxeur a également profité de cet entretien pour tacler ouvertement Tyson Fury, en le traitant ni plus ni moins que de menteur. Pour rappel, le combat était prévu pour le mois de juillet dernier mais a été repoussé puisque le Gyspy King a contracté le Covid. Une information remise en cause par Deontay Wilder :
Ils essaient de repousser le combat, je veux expédier ça. Je ne crois pas qu’il y avait une histoire de coronavirus. Je sais qu’il n’était pas en forme pendant son camp. Les jeunes boxeurs le malmenait. Un jeune gars de mon camp l’a secoué.
A l’avenir, on pense désormais à tous les futurs célibataires qui devront monter dans un ring contre Deontay Wilder. Quelques dents pourraient disparaitre, mais c’est le tribu à payer pour espérer approcher l’une de ses filles.
