Le destin d’un joueur NBA se joue parfois à peu de choses… La preuve, selon une incroyable légende urbaine, une star actuelle devrait son parcours dans la grande ligue à son père et à son amour de la bagarre. S’il n’avait pas battu 14 personnes en même temps, son fils ne serait peut-être pas là où il en est…
C’est une chose à laquelle on pense rarement, mais les joueurs NBA bénéficient souvent de gènes avantageuses. Si le physique n’est pas toujours héréditaire, il est difficile d’imaginer un intérieur de 2m20 et 120 kilos avec des parents de 1m60 à la maison… Et si la taille ne garantit en rien le talent, il ne faut pas non plus négliger le rôle de la génétique dans le destin des stars de la ligue.
Preuve que les joueurs NBA ne sont pas des anomalies dans leurs familles, Nikola Jokic, MVP en titre, n’est même pas l’enfant le plus costaud chez lui. Ses deux frères sont des montagnes de muscles bien plus terrifiantes que lui, et ils n’hésitent d’ailleurs pas à en jouer dans les tribunes où ils s’embrouillent avec de nombreux adversaires.
Et selon une légende urbaine, Jusuf Nurkic aussi pourrait remercier son père pour sa carrière. Pas seulement pour son physique, mais surtout pour une folle anecdote… Visiblement, il serait devenu professionnel parce que son père s’est déjà battu seul contre 14 personnes. La suite de l’histoire est particulièrement farfelue, peut-être un peu exagérée, mais ô combien divertissante. Le site FadeAway World raconte.
Le père de Jusuf Nurkic est policier à Tuzla en Bosnie, et il mesure 2m13 pour 180 kilos. Un jour, l’agent Enes Trnovcevic lisait le journal, et il a vu une histoire totalement dingue : « un policier, Hariz Nurkic, a battu 14 personnes dans une grande bagarre. » Il a tout de suite compris ce qu’il devait faire.
Le lendemain il s’est rendu à Tuzla, pour rencontrer ce policier de 2m13, et il lui a simplement demandé s’il avait un fils. Jusuf Nurkic avait 14 ans à l’époque, et il n’avait jamais touché un ballon de basket de sa vie. Enes Trnovcevic lui a proposé de partir en Slovénie pour s’entrainer, et le pivot des Blazers a accepté.
Si cette immense bagarre n’avait pas fait les gros titres en Bosnie, Jusuf Nurkic n’aurait peut-être jamais découvert le basketball et serait passé à côté d’une belle carrière… Et si l’histoire peut sembler exagérée, le principal intéressé a confirmé les grandes lignes lors de son passage à Denver. Comme quoi, le destin ne se joue pas forcément à grand chose.
La famille Nurkic a l’air sacrément impressionnante physiquement. Entre Hariz et Jusuf, il vaut mieux ne pas avoir de souci avec eux…