Officiellement joueur des Lakers, DeAndre Jordan rejoint de prestigieux coéquipiers. Parmi eux, le pivot sera bien heureux de ne plus en croiser un dans le camp adverse. Pas de doute, on comprend l’ancien Clippers pour le coup.
Globalement décevant lors de son court passage aux Nets, DeAndre Jordan n’était pas heureux de son temps de jeu. En témoigne sa phrase incendiaire sur la franchise en off, lui qui espérait beaucoup mieux lors de sa première saison dans la Big Apple. Au final, pas de titre, ainsi qu’un départ précipité.
Aux Lakers, le pivot entend bien se relancer. Il a quand même pu évoquer une dernière fois sa relation avec Kevin Durant et Kyrie Irving, avant de les retrouver plus tard en tant qu’ennemi. Car sur le parquet, pas de pitié pour le nouveau venu qui donnera son maximum pour les Angelinos.
Comme il a pu l’évoquer en conférence de presse, DJ est très heureux de rejoindre la franchise de Los Angeles. Il aura encore la chance de jouer le titre, avec normalement du temps de jeu adéquat. On ne sait pas ce qu’a prévu Frank Vogel pour la suite, mais il devrait utiliser son nouveau numéro 5 assez souvent.
De plus, Jordan aura le bonheur de ne plus croiser le chemin de Russell Westbrook. Les deux sont désormais coéquipiers, ce qui fait le bonheur de l’ancien Clipper. Dans sa récente interview, il a confié sa joie de ne plus affronter le meneur star : on peut dire que tout le monde le comprend.
DeAndre on Westbrook: "Russ coming downhill angrily aggressive every time … was tough. Now I can see what it’s like to be a teammate with this guy. Now I don’t have to contest him at the rim (every play)."
— Mike Trudell (@LakersReporter) September 9, 2021
DeAndre sur Westbrook : « Russ qui se ramène à chaque fois énervé dans la raquette… c’était dur. Maintenant je comprends ce que ça fait d’être coéquipier avec lui. Maintenant je n’ai plus besoin de lui contester les actions au cercle. »
Une bonne nouvelle pour DeAndre Jordan, qui ne pouvait plus vraiment supporter Russell Westbrook en tant qu’adversaire. Mais en tant que coéquipier, c’est une autre histoire. Nul doute que dans le roster, le pivot n’est pas le seul à se sentir ainsi.