Très ambitieux à l’orée de la saison 2021-22, les Nets ont recruté du lourd cet été. Et ça ne pourrait ne pas être fini… Cinq joueurs de renom sont encore susceptibles d’atterrir chez les Noirs et Blancs. On fait le point.
Kevin Love (Cleveland)
Coéquipier du Big Three de Brooklyn en sélection nationale, l’intérieur des Cavs a également remporté un titre avec Kyrie Irving en 2016, dans l’Ohio. Frustré de sa situation actuelle, K-Love attend qu’un buy-out puisse être négocié, afin qu’il ait l’opportunité d’aller voir ailleurs. Son expérience et son tir extérieur seraient en tout cas précieux pour les Noirs et Blancs.
Goran Dragic (Toronto)
Envoyé dans l’Ontario pendant l’été, le Slovène a rapidement fait comprendre qu’il ne souhaitait pas rester. S’il a fait savoir à plusieurs reprises que Dallas était son point de chute favori (il pourrait y jouer avec son compatriote Luka Doncic), la perspective de jouer avec Kevin Durant & co. doit, elle aussi, être très alléchante. Les Nets pourraient alors compter sur une excellente deuxième option à la mène.
John Wall (Houston)
Surpayé (plus de 40 millions en 2021-22 !) et sujet aux blessures, l’ancien meneur de Washington n’est pas en odeur de sainteté dans le Texas. Sa franchise fait des pieds et des mains pour s’en débarrasser, et on imagine qu’un buy-out sera conclu dans le plus extrême des cas. Dans ce cas-là, Wall pourrait être un excellent pari à moindre pari, le temps d’une saison pour faire ses preuves. Ses qualités à la distribution sont restées intactes, idéal pour assister le trio de tête.
Avery Bradley (Houston)
Coéquipier de Wall à Houston, Avery Bradley a, lui aussi, connu de difficiles dernières années. Depuis son départ de Boston en 2017, le guard a connu pas moins de six franchises ! Surtout, victime de blessures à répétition, il n’a plus atteint la barre des 60 matchs sur une saison depuis trois ans. Néanmoins, sa défense et son expérience pourraient faire du bien à l’escouade de Steve Nash, ainsi que son tir extérieur (36% en carrière).
JJ Redick (Dallas)
On l’oublie un peu, tant sa dernière saison entre les Pelicans et les Mavs fut un marasme sportif comme personnel, mais l’arrière reste l’un des meilleurs shooteurs de l’histoire. Sa présence sur le banc de BKN serait un atout non négligeable, Redick étant capable de relancer un match en un rien de temps par ses tirs primés. La famille du bonhomme résidant à New York, il a certainement déjà envisagé l’option de se poser là-bas. À bon entendeur…
Du beau monde pourrait encore rejoindre Brooklyn, et la concurrence ne va pas apprécier ça. En même temps, quand on a un tel pouvoir d’attraction, ça fait des jaloux…