Alors qu’il est cité du côté des Lakers, DeAndre Jordan devrait prochainement changer d’équipe. Oui mais voilà, cette signature ne plaît pas à tout le monde : un exécutif de l’Est s’en est pris aux Angelinos.
Après deux petites saisons pas vraiment convaincantes chez les Nets, DeAndre Jordan ne devrait plus porter le maillot de la franchise. Ce n’est pas encore confirmé, mais un accord devrait prochainement être trouvé pour un buyout. Le pivot serait alors sur le marché, libre de renforcer l’équipe de son choix.
Même s’il n’est plus dans son prime, Jordan va recevoir de l’intérêt de la part de prétendants. Brooklyn veut s’en séparer, même s’il décide de débarquer chez… les Lakers. En effet, la franchise californienne est très bien placée pour le recruter selon de récents échos.
Une venue intéressante ? Elle soulève en tout cas des questions avec les présences de Dwight Howard et Marc Gasol. Ce dernier est justement cité loin de la Cité des Anges, tout ça afin de faire de la place à Jordan. Mais est-ce une bonne solution ? Disons que tout le monde ne le voit pas ainsi.
Le journaliste Michael Scotto a récemment interrogé certaines personnes concernant le futur du pivot, afin de savoir si une signature chez les Lakers est une bonne nouvelle. Un exécutif de la conférence Est s’est exprimé sur le sujet, et son avis ne prête pas à confusion.
J’espère que les Nets vont négocier un buyout avec lui afin qu’il puisse rejoindre les Lakers, cette équipe digne de l’ARRP. Mieux encore, la maison de retraite des Lakers. Je n’ai jamais vu un roster comme ça.
Pour mieux comprendre, l’ARRP est une société destinée aux personnes âgées, chargée d’améliorer leur qualité de vie. Une maison de retraite, que cet exécutif compare à la franchise des Angelinos. Il faut dire que Jordan, en cas de venue, ne viendrait pas rajeunir l’effectif, qui vient déjà d’accueillir Rajon Rondo. De l’expérience, mais aussi beaucoup d’interrogations.
Les moqueries ne cessent pas concernant l’âge des joueurs des Lakers, et ça ne fait sans doute que commencer. Le front office prend un risque, qu’il ne faudra pas regretter plus tard. Le droit à l’erreur n’existe pas pour Rob Pelinka and co.