puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Superstar incontournable du paysage NBA, et ancien MVP, James Harden fait partie des joueurs les plus appréciés, et par conséquent surveillés de la ligue. Pourtant, un coach affirme que le Barbu renfermerait un gros secret… en lien avec son image de joueur en dilettante !
Rookie discret du côté du Thunder, puis 6ème Homme parmi les plus redoutés de la ligue durant ses dernières années à OKC, il a endossé une nouvelle cape beaucoup plus importante à son arrivée à Houston. En l’espace d’un été, James Harden s’est ainsi transformé en superstar NBA, et s’est hissé au rang des meilleurs scoreurs de la ligue. Deux étiquettes qui lui collent toujours à la peau à l’heure actuelle, près de 10 ans après ce transfert.
Mais ce niveau exceptionnel indéniable, qui lui permet de rester dans le gratin des joueurs depuis bientôt une décennie, se voit terni par les rumeurs qui l’entourent. Adepte de la vie nocturne, souvent grassouillet à ses retours de vacances, le Barbu ne possède a priori pas l’éthique de rêve loin des terrains. Chris Brickley, coach personnel renommé sur le circuit, a néanmoins tenu à redorer quelque peu son blason dans les colonnes de HoopsHype.
“James Harden has whatever reputation he has. But the reality is that during the summer, we work out. When it’s done, everyone is sitting down. This guy is running suicides. No one talks about that.”
— Hoop Central (@TheHoopCentral) August 18, 2021
– Chris Brickley
(via @hoopshype) pic.twitter.com/wNR6QFNfcm
Pendant un workout, je cherche à voir si le joueur donne vraiment tout ce qu’il a. Par exemple, James Harden a la réputation qu’on lui connait. Mais la réalité, c’est que pendant l’été, on s’entraine ensemble. Une fois que c’est fait, tout le monde va s’asseoir. Lui, il va enchainer les sprints sur la longueur du terrain. Personne ne parle de ça à propos de lui !
Les apparences seraient donc trompeuses pour le MVP 2018, qui serait en réalité un immense travailleur. Comme quoi, même si cela peut parfois être imaginé dans le cas de certains joueurs, le talent à lui seul ne suffit jamais à se démarquer de la concurrence. C’est d’ailleurs ce qu’a compris Brickley au fil de ses séances avec les pointures de la ligue, comme Harden ou Donovan Mitchell.
J’appelle ça « la règle des trois heures », quand je parle des joueurs qui vont à la salle et qui y restent pendant au moins trois heures. Ils font un vrai échauffement, bossent pendant une heure et demie, et font une vraie récupération avant de travailler leur physique et leur cardio. Ce sont ces joueurs-là qui obtiennent des contrats à plus de 100 millions de dollars. Ceux qui restent une heure et qui s’en vont ? Ce sont ceux qui ne durent pas (en NBA).
Ne vous y trompez pas, James Harden ne s’économise pas lors des entrainements. Une méthode de travail qui lui permet par la suite d’exceller sur les parquets, et de pouvoir librement profiter de son temps libre !
