À quelques jours de son entrée en lice dans le tournoi olympique, l’équipe de France a officiellement atterri au Japon ce jeudi. Quelques heures seulement après avoir posé le pied sur le sol nippon, Evan Fournier a d’ores et déjà regretté deux particularités entourant la compétition.
J-9. Quelques heures seulement après la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Tokyo – qui se tiendra vendredi 23 juillet à 13 heures, heure française – les Bleus débuteront leur mission. Opposés à Team USA pour leur premier match dans le tournoi (dimanche 25, 14h), les hommes de Vincent Collet n’auront pas le temps de tergiverser. Leur préparation devra donc les lancer au mieux pour cette échéance.
Jusqu’ici, les matchs amicaux disputés par Nicolas Batum et ses troupes ne leur ont pas offert beaucoup de confiance. Défaits à deux reprises par l’Espagne, ces derniers chercheront à rectifier le tir prochainement face au Japon et à l’Italie. Des rencontres disputées dans le Pays du Soleil levant, dans lequel ils ont atterri ce jeudi. Evan Fournier n’a d’ailleurs pas tardé a exprimer une première déception sur place.
En vrai je suis deg de pas pouvoir découvrir le Japon. Ce pays a l’air tellement incroyable.
— Evan Fournier (@EvanFourmizz) July 15, 2021
Compte tenu de l’état d’urgence appliqué sur l’île, et de la vigilance globale vis-à-vis du coronavirus, l’équipe de France, à l’instar des autres sélections, n’auront pas carte blanche dans leurs déplacements. De quoi frustrer l’arrière des Celtics, emballé à l’idée de découvrir les richesses du territoire. Ce contretemps ne devrait cependant pas avoir d’impact sur ses performances, à l’inverse d’une autre spécificité qu’il a également déplorée.
Le jet lag dans ce sens vraiment c terrible
— Evan Fournier (@EvanFourmizz) July 15, 2021
Plutôt habitué aux fuseaux américains, voire européens ces derniers jours, Evan éprouve visiblement plus de difficultés à s’adapter au décalage horaire asiatique.
Contrairement au retard temporel des États-Unis sur la France, le Japon compte en effet 7 heures d’avance sur l’Hexagone. Dès lors, il doit être difficile pour Fournier, comme pour ses partenaires, de trouver le sommeil à 21h30, soit… à 14h30 à Paris. Souhaitons que cette spécificité ne sollicite pas trop les organismes de nos représentants avant l’entame des choses sérieuses.
À peine débarqué en terres nippones, Evan Fournier découvre avec amertume les inconvénients de ces JO si particuliers. Le terrain lui permettre sans doute d’oublier ces déceptions.