Modèle incontesté de nombreux jeunes basketteurs de par ses performances, Kevin Durant l’est beaucoup moins loin des terrains. En plus de ses coups de sang sur les réseaux, l’ailier des Nets serait également… un gros consommateur de weed. Vous avez dit exemple ?
Contrairement à un certain LeBron James, ou même à ses propres coéquipiers Kyrie Irving et James Harden, Kevin Durant n’a pas vu sa saison s’achever suite à l’élimination de son équipe en playoffs. Ou plutôt, cette défaite des Nets lors du match 7 face aux Bucks, le 19 juin, n’a pas marqué le début d’une période de repos durant l’intersaison.
Comblé de pouvoir refouler les terrains après en avoir été éloigné pendant plus d’un an, le Slim Reaper a gaiement accepté l’invitation de Team USA pour participer aux Jeux olympiques. Il a donc débuté sa préparation avec la sélection de Gregg Popovich, et devrait sauf catastrophe fouler les parquets japonais d’ici quelques jours.
En attendant, les révélations le concernant pleuvent dans les médias US. La plupart proviennent de la même source, à savoir Matt Sullivan, auteur du livre Can’t Knock The Hustle. Lors de son récent passage dans le Dan Le Batard Show, l’écrivain s’est épanché sur le comportement hors terrain de KD, marqué par une habitude assez fâcheuse pour le commun des mortels.
Il fume encore plus de weed que vous ne pouvez l’imaginer. Une fois, j’étais chez lui à 1h du matin, et l’endroit tout entier empestait. Il n’a pas de petite amie. Il ne fait pas de folies en matière de vacances. En fait, il ne fait rien d’autre que jouer au basket. Genre, rien. Il est ennuyant à mourir.
Faute de trouver meilleure occupation, Durant a visiblement pour habitude d’enchainer les joints dans son humble demeure. Rien d’illégal là-dedans, puisque la consommation récréative de marijuana est tout à fait autorisée dans l’état de New York, et dans de nombreux autres. Adam Silver lui a même rendu un fier service il y a quelques mois sur ce point.
À l’aube de l’exercice 2020-21, la ligue annonçait en effet ne pas compter tester ses membres pour l’usage de drogues du genre sur la saison. Durantula a donc pu s’octroyer ce petit plaisir, sans peur des représailles. Qu’il se méfie cependant, car les lois au sujet du cannabis se veulent beaucoup plus fermes et dissuasives au Japon.
Grand amateur de weed, Kevin Durant pourrait encourir cinq ans d’emprisonnement en cas d’usage dans le pays du Soleil levant. Gregg Popovich devra donc tenir son joueur, sous peine de ne pas le ramener aux États-Unis !