Michael Jordan ne s’est pas fait que des amis lors de sa longue domination sur la NBA… La preuve, 30 ans après, l’un de ses vieux ennemis entretient toujours une folle rancoeur envers lui ! Au cours d’une récente interview, il a totalement craqué en évoquant MJ et ses Bulls…
Il n’existe plus de rivalité comme celle qu’entretenaient les Bulls et les Pistons à la fin des années 80′ / début des années 90’… Avec leur style particulièrement agressif, les Bad Boys se sont mis sur le chemin de la gloire de Michael Jordan pour aller faire un doublé en 89 et 90… Et quand ils ont enfin été vaincus l’année suivante, Isiah Thomas et ses coéquipiers ont pris une décision légendaire.
After getting swept in the ECF, the Pistons refused to shake hands with the Bulls #TheLastDance pic.twitter.com/lR98JSa0nv
— SportsCenter (@SportsCenter) April 27, 2020
Face à l’élimination, les Pistons ont décidé de quitter le terrain avant même la fin de rencontre, le tout sans serrer la main de leurs bourreaux… Une action qui restera comme le symbole d’une rivalité mythique. D’ailleurs la colère entre les deux camps ne passe pas. La preuve, l’ancien Bad Boy Rick Mahorn est revenu sur cette affaire dans le Dan Le Batard Show… Et la tension est encore palpable.
Que Michael Jordan et les Bulls aillent se faire foutre ! Si j’étais allé vers eux je leur aurais cassé la gueule. J’aurais botté le cul du premier au douzième membre du roster. Je ne vais pas serrer la main des gars qui m’empêchent de décrocher un titre, vous êtes fous ! Vous m’avez soulé je me barre de cette émission.
Cet échange s’est fait sous le signe de la rigolade et Rick Mahorn n’a pas réellement quitté l’émission, mais le fond de sa pensée n’en reste pas moins vrai. Il déteste les Bulls et aurait pu facilement craquer lors de ce fameux match des playoffs 1991. Qu’il se rassure, l’art de partir sans saluer ses adversaires se perpétue, la preuve avec Paul George face aux Suns !
Cette non poignée de mains restera un évènement marquant de l’histoire de la ligue… Le temps passe, mais la rancoeur et la colère reste, et ce des deux cotés !