Tandis qu’il s’apprête à disputer sa première finale, Chris Paul jouera-t-il encore à Phoenix l’an prochain ? Tout est possible. Si ce n’est pas le cas, une franchise est d’ores et déjà favorite pour le récupérer.
Au Thunder, puis aux Suns aujourd’hui, Chris Paul est en train de mettre tout le monde d’accord en NBA. Si son comportement fait toujours débat, il est indéniable que le meneur est sur un nuage, au point de porter Phoenix vers la grande finale pour cette campagne 2020/21. Au bout, une bague, ce qui serait un immense accomplissement pour CP3.
Peu importe l’issue de la saison, on peut imaginer que les Suns voudront le conserver. Son impact est immense, mais un domaine reste fragile : le salaire. À 36 ans, Paul reste gourmand, et devrait demander des émoluments importants sur son prochain contrat.
S’il possède une option joueur contre plus de 40 millions, certaines sources affirment qu’il devrait la refuser, avec l’objectif de signer un nouveau deal lucratif sur trois saisons. C’est risqué, mais Phoenix peut-il vraiment lui refuser quelque chose après un tel exercice ? Pas sûr.
Cependant, quand de l’argent est en jeu, tout est possible dans la ligue. Paul va être très courtisé, et c’est déjà le cas selon les dernières informations de Ian Begley. Ce dernier affirme que les Knicks sont la destination favorite pour accueillir CP3 en cas de départ.
Several agents for point guards in the 2021 free agent class fear New York as a possible landing spot for Chris Paul, per @IanBegley
— NBA Central (@TheNBACentral) July 2, 2021
According to Ian Begley, New York would only be an option for Paul if he and Phoenix didn’t reach an agreement.
(Via https://t.co/qnl3kf1FJn) pic.twitter.com/ogjQRLywcK
Plusieurs agents de meneurs craignent que New York soit une possible destination pour Chris Paul. Selon Ian Begley, les Knicks seraient la seule option si Paul ne trouve pas un accord avec Phoenix.
Ce n’est pas la première fois que les Knicks et Chris Paul sont liés, et sans doute pas la dernière. Mais vu le parcours des Suns, difficile d’imaginer une séparation cet été. À suivre.