Encore omniprésent pour les Wizards ce mardi contre les Hornets, Russell Westbrook a lâché une ligne de stats impressionnante. La preuve, il a fait du jamais vu en 53 ans, et un certain Wilt Chamberlain.
Décidément en ce moment, il est difficile de stopper Russell Westbrook. Le meneur est en forme avec Washington, même si les résultats ne sont toujours pas au rendez-vous. Pourtant, il y a quelques jours, l’ancien MVP avait tout bonnement réalisé une ligne de stats inédite dans l’histoire de la ligue. La preuve que oui, sa saison est lancée.
Mais ce mardi soir, il devait sans doute avoir un sentiment amer. En effet, les Wizards ont perdu sur le score de 114-104 face à Charlotte tout d’abord, mais Westbrook a fait son boulot : 22 points à 7/20, 15 rebonds et 14 passes en totalité.
C’est fort, même si son adresse n’est pas idéale. Quoi qu’il en soit, cela reste un bon match de Russ, qui est omniprésent sur un parquet, encore plus avec l’absence de Bradley Beal. Selon ESPN, voilà que l’ancien Rocket a tout simplement réussi du jamais vu en 53 ans, et Wilt Chamberlain.
Russell Westbrook's last 3 games:
— ESPN Stats & Info (@ESPNStatsInfo) March 31, 2021
– 25.3 PPG
– 16.0 RPG
– 15.0 APG
He's the 2nd player in NBA history to average 25 PPG, 15 RPG and 15 APG over a 3-game span, joining Wilt Chamberlain from March 18-20, 1968.
H/T @EliasSports pic.twitter.com/trhEiyOefl
Russell Westbrook sur les trois derniers matchs : 25.3 points, 16 rebonds, 15 passes.
Il est le second joueur de l’histoire à enregistrer 25 points, 15 passes et 15 rebonds de moyenne durant trois matchs de suite, rejoignant Wilt Chamberlain du 18 au 20 mars, en 1968.
Une sacrée prouesse pour Westbrook, qui va beaucoup mieux après un début de saison raté. La preuve avec ce poster monstrueux sur Bismack Biyombo :
RUSSELL WESTBROOK POSTER
— NBA Central (@TheNBACentral) March 31, 2021
(@Hoop_District ) pic.twitter.com/nEAlbbm5xm
Le show Russell Westbrook continue, même si la victoire n’est pas présente contre les Hornets. Cela s’annonce compliqué pour les Wizards, encore plus quand Bradley Beal n’est pas là.