La crise continue chez les Wizards après une nouvelle lourde défaite, face aux Hornets cette fois-ci. Après le match, Bradley Beal a sorti une phrase pour la moins glaciale afin de résumer ce qui se passe dans le vestiaire.
Malgré quelques victoires sur les derniers matchs, non, les Wizards ne vont pas beaucoup mieux. Bradley Beal a connu son premier couac face au Heat avec un 0/12 pour débuter sa rencontre, et le carton de Russell Westbrook l’autre jour n’était que temporaire. Car depuis, Washington perd à nouveau, et de manière assez brutale.
Prenons le match de ce dimanche, contre les Hornets, durant lequel les hommes de Scott Brooks ont couru après le score pendant très longtemps. Puis, au retour des vestiaires, ils ont complètement craqué accusant presque 30 points de retard.
Le score à l’arrivée ? 119-97, avec un Gordon Hayward à 25 points et Terry Rozier à 26 unités. De l’autre côté, Beal a tenté avec 31 points, mais il est beaucoup trop esseulé pour tenter de gagner quelque chose. Westbrook lui termine avec 12 unités à 4/9 au tir. Ce n’est toujours pas glorieux, loin de là.
Et comme on peut s’en douter, l’ambiance n’est pas folle dans le vestiaire. Les défaites font mal et tous les joueurs, en intégralité, sont déçus par la tournure des événements. C’est en tout ce que Beal a confirmé aux médias après cette nouvelle déconvenue. Autant dire que ce n’est pas fou ce qui se passe en ce moment dans la franchise.
Bradley Beal on the locker room: "There’s no laughter. There’s no chatter. Nobody’s happy. I guess the only positive is that it seems like we care, but we gotta carry it over to the floor."
— Fred Katz (@FredKatz) February 7, 2021
Bradley Beal au sujet du vestiaire : « Il n’y a pas de rire. Il n’y a pas de bavardage. Personne n’est heureux. La seule chose rassurante je suppose c’est que nous avons l’air de nous en soucier, mais on doit transmettre ça sur le parquet. »
C’est tendu chez les Wizards, même si cela n’a rien d’étonnant avec toutes les défaites. Bradley Beal et ses compères doivent se réveiller, mais en sont-ils capables ? Ça paraît de plus en plus improbable.