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Bien intégré dans sa nouvelle équipe d’Indiana, TJ McConnell a eu le déplaisir de prendre un missile de la part d’un ancien coéquipier. Et ça n’est pas joli-joli, puisque ça vise l’anatomie…
Après plusieurs années à régaler les fans de Philly par sa hargne et son dévouement, TJ McConnell a pris la direction des Pacers pour cette saison. Dans l’Indiana, le guard fait ce qu’il sait faire de mieux : jouer à fond pendant une vingtaine de minutes, le temps d’empiler environ 6 points et 5 passes de moyenne et d’apporter sa grosse intensité défensive.
Ces caractéristiques, McConnell les traine depuis toujours, et notamment depuis son parcours à la fac. Si c’est à Arizona qu’il a connu ses plus belles années entre 2013 et 2015, le natif de Pittsburgh a passé 2 ans à la fac de Duquesne, entre 2010 et 2012. Le temps d’y rencontrer un certain Andre Marhold.
Hormis quelques années en Allemagne et 4 ans sans relief à Duquesne, Marhold n’est pas vraiment connu pour ses exploits sur les parquets. S’il a fait parler de lui, c’est plutôt pour sa relation tumultueuse avec le maquilleur Jeffree Star, dont il est séparé depuis quelques mois.
Toujours est-il que l’homme, récemment invité du podcast Hollywood Unlocked, est passé en mode balance quand il a été interrogé sur l’anatomie dans les douches des joueurs de basket. Et c’est le pauvre TJ McConnell qui a pris une sacrée balle perdue.
Journaliste : « As-tu déjà été attiré par un de tes coéquipiers ? Tu étais dans les vestiaires, avec plein de joueurs. Tu n’as jamais été… curieux ? »
Marhold : « Non. Il y a un de mes coéquipiers, il joue maintenant en NBA et son nom est TJ McConnell, il avait la plus petite b*** que j’ai jamais vu. La mienne était toujours la plus grosse donc pas de soucis ».
Des propos pleins d’intelligence, qui ont eu le mérite de faire rire l’hôte de l’émission…
L’histoire est certes un peu moins marrante pour le principal intéressé que celle sur l’anatomie d’un certain Manute Bol. Mais on imagine que TJ McConnell, fidèle à ce qu’il montre sur les parquets, a le cuir solide et se moque bien de telles critiques.
Le sulfureux Andre Marhold ne se grandit pas avec une telle sortie, qui brise un des codes les plus sacrés du vestiaire. Mais après tout, c’est bel et bien TJ McConnell qui vit le rêve et foule les parquets NBA, pas son ex-coéquipier médisant. Et ce n’est que justice.
