Alors qu’on s’attend toujours à un trade de James Harden dans un futur proche, le feuilleton pourrait finalement connaître un nouveau rebondissement. Et ce n’est sans doute pas le dernier.
Ce samedi soir, les Rockets ouvrent leur saison contre les Blazers dans un cadre particulier. Et non, on ne pense même pas à James Harden, mais plus au coronavirus. En effet, l’effectif est touché, ce qui fait que John Wall, DeMarcus Cousins et d’autres joueurs sont forfaits pour une semaine : la durée de leur quarantaine.
Plusieurs joueurs sont cas contacts et n’ont donc pas le droit de fouler un parquet de basket ou de côtoyer du monde. Un coup dur pour les Rockets, qui a d’ailleurs mené à quelques tweet étranges de la part de Boogie sur Twitter.
Maintenant, on peut évoquer le cas de James Harden, qui sera présent pour affronter Portland. Est-ce suffisant ? Peut-être, d’autant que la bande à Damian Lillard a beaucoup de mal à lancer sa saison. Dans tous les cas, l’arrière ne sera peut-être pas dans les parages dans un futur proche, puisqu’on rappelle que des discussions pour un trade sont présentes. A moins évidemment que cela dure plus longtemps que prévu, comme l’explique Adrian Wojnarowski.
Les Rockets savent que pour faire ce trade avec James Harden, ils ont besoin de récupérer une valeur maximale en contrepartie. Ils n’ont pas besoin de précipiter ce processus puisqu’il est sous contrat pendant encore deux ans. Ils ne veulent pas que ce feuilleton s’éternise, mais ils ne veulent pas non plus un mauvais deal. Mais aujourd’hui, ce qu’ils voient sur le marché, ce n’est pas suffisant.
Un trade rapide ? A exclure et Harden devrait passer une bonne partie de sa saison sous le maillot de Houston si les dirigeants ne cèdent pas. Pour l’heure, les offres adverses sont loin d’être suffisantes, ce qui fait traîner ce dossier en longueur. Et à en croire Woj’, il ne faut pas être étonné à l’idée de voir tout ça continuer pendant quelque temps encore.
James Harden et les Rockets, c’est encore loin d’être terminé. Le front office refuse de céder, même idée de l’autre côté. Le bras de fer continue.