puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Après de longs mois d’incertitude, Kyle Kuzma a enfin gravé dans le marbre son avenir aux Lakers. Mais pour le faire, l’ailier-fort a dû ravaler sa fierté et faire une grosse concession.
40 millions sur 3 ans, le coup de griffe en bas du contrat, et voilà comment le feuilleton Kyle Kuzma a enfin pris fin – et cela malgré les énormes railleries des internautes. Un moindre mal pour le jeune joueur, auteur d’une saison dernière bien délicate.
D’abord au coeur de nombreuses rumeurs de trade, Kuz a vu sa valeur décliner à mesure que ses performances sur les parquets ont pris du plomb dans l’aile. Il a donc dû se contenter d’une extension au rabais, loin par exemple de la supermax de Jayson Tatum, drafté en 2017 lui aussi.
Un goût amer ? Forcément. Mais Kuzma a su mettre la fierté de côté, comme l’a expliqué le toujours très bien informé Brian Windhorst d’ESPN dans le podcast The Hoop Collective :
La somme demandée par Kuzma était plus élevée, mais il l’a baissée et s’est assuré de rester aux Lakers.
Il y a plusieurs mois, des sommes beaucoup plus coquettes étaient en effet évoquées en provenance du camp Kuzma. Mais le niveau douteux de Kuz les a rendues totalement irréalistes, et le choix est devenu simple : signer une extension au rabais, ou laisser courir et devenir agent libre l’été prochain. C’est la première option qui a été choisie.
Une fois la pilule avalée, 40 millions étant une somme « modeste » dans la ligue actuelle, Kuzma a tout à gagner avec ce deal. Et du côté de ses coéquipiers, qui n’ont jamais cessé de le soutenir, la confiance est là. Anthony Davis a récemment expliqué que sa situation contractuelle réglée, l’ailier-fort allait jouer beaucoup plus libéré.
En tout cas, sa pré-saison laisse présager de bien belles choses, avec notamment une belle adresse de loin. Reste maintenant à enchaîner sans retomber dans les vieux travers.
Kyle Kuzma a fait une croix sur ses rêves de grosse extension pour l’instant, mais à la clé, il demeure un Laker pour les prochaines années. A lui de jouer désormais.
