puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Arrivé à Los Angeles il y a une semaine, Nicolas Batum a tenu son premier point presse avec les médias américains dans la peau d’un Clipper. L’occasion de prendre ses marques, et de faire un tour d’horizon.
Il fera partie de ces nouveaux visages qui tenteront de redorer le blason des Clippers. Débarqué dans la cité des anges après un long feuilleton qui l’a vu être coupé par les Hornets, Nicolas Batum va tenter d’aider Kawhi Leonard et compagnie à décrocher la bague qu’ils convoitent tant.
Si son rôle n’est pas encore clairement défini, l’ailier devrait probablement servir de back-up sur les ailes à hauteur de 15 ou 20 minutes par match. Quoiqu’il en soit, il n’est pas affolé par la perspective :
Batum got to L.A. one week ago. He’s talked with Kawhi a few times since, he said. Mostly he knows him from guarding, and being guarded by, Kawhi.
— Andrew Greif (@AndrewGreif) December 6, 2020
Batum says his role has changed often through his career so he’s not so worried about the little time he’ll have to acclimate.
Batum est arrivé à L.A. il y a une semaine. Il dit qu’il a parlé avec Kawhi plusieurs fois depuis. Il le connait surtout parce qu’il défend sur lui et est défendu par lui depuis plusieurs années.
Batum dit que son rôle a tellement changé à travers sa carrière qu’il ne s’inquiète pas vraiment du peu de temps qu’il aura pour s’acclimater.
En bon vétéran qui arpente la NBA depuis plus d’une décennie, Batman sait s’adapter à toutes les situations qui lui sont présentées. En tout cas, le Français est prêt à en découdre, et il annonce la couleur quant à sa nouvelle équipe après le fiasco absolu des derniers playoffs :
Nic Batum is talking now for the first time as a Clipper. « What I know, » he said of his new team, « is they learned from their mistakes. »
— Andrew Greif (@AndrewGreif) December 6, 2020
Ce que je sais, c’est qu’ils ont appris de leurs erreurs.
Un discours partagé par Patrick Beverley, qui avait expliqué à la presse quelques instants plus tôt qu’il sentait un groupe « énervé », prêt à rectifier le tir.
C’est dans une meute affamée que Nicolas Batum a posé ses valises. Lui est en tout cas prêt à relever le défi qui l’attend, et c’est tout le mal qu’on lui souhaite.
