Après un nouvel échec connu la saison passée, les Rockets sont plus que jamais sous pression. Un trade de James Harden ? Pas impossible. Cependant, la position de la franchise sur le sujet est claire. On fait le point.
Prétendants au titre en début de saison, les Rockets n’ont pas réussi à répondre aux attentes. Il faut dire que de nombreuses interrogations étaient présentes autour du duo incarné par James Harden et Russell Westbrook, et ces craintes fut confirmées. Les deux hommes n’ont jamais réussi à exceller ensemble, et encore moins en playoffs.
Alors forcément, on peut se poser des questions sur le futur des Rockets. Daryl Morey, le GM, est parti, tout comme Mike D’Antoni. De quoi menacer le small-ball et le plan de la franchise ? Pour le moment, il semblerait que non.
En effet, Morey a beaucoup fait parler de lui ce mercredi. Une arrivée aux 76ers et voilà qu’une rumeur envoyant Harden en Pennsylvanie a agité le paysage de la balle orange. Faut-il y croire ? Pour l’instant, disons que non. Selon le journaliste Tim MacMahon d’ESPN, un trade du Barbu est inimaginable… aujourd’hui.
"What I can say is right now the Rockets are 100 percent committed to trying to cash in on James Harden's prime. They consider him the best player in the league."
— NBA Central (@TheNBACentral) October 29, 2020
– Tim MacMahon
(Via the Woj Pod | h/t @RealGM ) pic.twitter.com/eaRVLmztEF
Ce que je peux dire aujourd’hui c’est que les Rockets veulent à 100% exploiter le prime de James Harden. Ils considèrent qu’il est le meilleur joueur de la ligue.
Que les dirigeants aient raison ou non, cela ne change pas le fait que Harden ne bougera pas. On n’échange pas celui que l’on considère comme le « meilleur joueur du monde ». Pour un départ, on peut imaginer deux options : la free agency 2022, quand Harden pourra tester le marché, ou alors une demande de trade d’ici là, ce qui n’est pas impossible en cas d’échec. Les 76ers seront dans tous les cas présents si ça arrive.
James Harden va-t-il partir de Houston ? Disons que ce n’est pas impossible. Les Rockets sont clairement sous pression, le droit à l’erreur n’existe plus.