Sans emploi en NBA depuis maintenant 8 mois, Isaiah Thomas continue malgré tout d’être interpellé par de parfaits inconnus à l’aéroport. Mais pas forcément pour les bonnes raisons.
Les précisions concernant le déroulement de la saison 2020-21 se multiplient ces derniers jours, et permettent peu à peu de balayer les incertitudes qui entourent cet exercice. Une subsiste néanmoins toujours, et devrait rester d’actualité pendant plusieurs semaines encore : Isaiah Thomas sera-t-il de la partie ?
Malgré des dernières années délicates dans la ligue, et un statut de free agent depuis février dernier, le meneur de poche reste un personnage attachant dans le paysage NBA. À 31 ans, cette intersaison se présente certainement comme sa dernière chance de se relancer, et de prouver qu’il mérite un spot dans une franchise.
En attendant de savoir si ses nombreux appels du pied se révèleront fructueux, I.T. mène une vie normale, et se trouvait dernièrement dans un aéroport. Pourquoi relayer une information aussi random ? Car l’ancien des Celtics y a vécu une drôle de rencontre, qu’il s’est empressé de raconter sur son compte Twitter.
Dude in the airport came up to me and asked “Do you work for Nike?” Lol I mean I guess I am an employee. That was funny to me because Nike looks like a dope ass job anyway.
— Isaiah Thomas (@isaiahthomas) October 25, 2020
Un gars est venu me voir à l’aéroport et m’a demandé : « Est-ce que vous bossez à Nike ? » Lol, à vrai dire, j’imagine que je suis une sorte d’employé. Ça m’a amusé parce que travailler à Nike, ça m’a l’air d’être un super bon job en vrai.
Avec son gabarit plutôt commun (1m75, 83kg), il n’est pas très étonnant de voir un inconnu, sans doute pas féru de basket, ne pas reconnaitre Isaiah. Toujours sponsorisé par Nike, ce dernier devait sans doute porter à ce moment-là un ensemble de la marque à la virgule, ce qui a pu induire en erreur son interlocuteur.
Si même les inconnus se mettent à lui manquer de respect, Isaiah Thomas va avoir du mal à sortir de sa situation compliquée. Heureusement, le meneur a pris tout cela avec le sourire cette fois-ci.