Plutôt bonne pâte et facile à apprécier dans un groupe, J.R. Smith ne possède pas beaucoup d’ennemis dans la ligue. Un seul de ses coéquipiers en carrière est resté dans sa mémoire pour de mauvaises raisons, et a vu son comportement dévoilé par le Henny God.
En lui octroyant le dernier spot disponible dans leur roster, les Lakers savaient certainement qu’ils n’allaient pas énormément l’impliquer dans la rotation sur la fin de saison. Dès lors, on peut légitimement penser qu’il a avant tout été recruté pour les bienfaits de sa présence dans un vestiaire, et sa bonne humeur communicative.
Depuis plus de 15 ans, J.R. Smith s’est en effet efforcé de se faire une image de bon coéquipier au sein de la NBA. Invité du podcast All Things Covered, il y a ainsi dévoilé qu’il s’était bien entendu avec tous ses partenaires en carrière… sauf un. Bon client, l’arrière a balancé l’identité du fameux joueur, et la raison pour laquelle le courant n’était pas passé avec lui.
JR Smith says he’s only had 1 teammate that he didn’t like over his 16 year career🤯
— NBA Retweet (@RTNBA) October 24, 2020
Via @E_DeBerardinis pic.twitter.com/Y2JX8lH8Iz
Dans toute ma carrière, il n’y a eu qu’un coéquipier que je n’ai vraiment pas aimé, et il le sait. C’est Sam Dekker. Ce gars a fait de la merde dans le bus un jour, il a dit des conneries, et ça ne m’a vraiment pas plu. La question qu’il a posée… C’était haineux, et c’était quelque chose du domaine de l’éducation. Il balançait des trucs dignes de Trump. Il n’était pas conscient des privilèges qu’il avait, et enterrait ceux qui ne les avaient pas. Et c’est quelque chose que je n’apprécie pas.
Arrivé dans la ligue en 2015, Sam Dekker n’y a pas laissé une trace indélébile. Passé par les Rockets, puis les Clippers, il a finalement rencontré J.R. aux Cavaliers lors de la 1ère partie de saison 2018-19. Une période où les deux hommes n’ont que très peu joué, mais ont visiblement eu le temps de développer quelques anicroches.
Au final, Dekker n’est resté que 4 mois à Cleveland, avant de faire ses valises pour Washington. Que Swish se rassure, il ne devrait d’ailleurs pas le recroiser sur les parquets américains de sitôt. Après un séjour d’un an en Russie, l’ailier shooteur évolue désormais au Türk Telekomspor. Un pays où il devra donc soigner son comportement, si l’on en croit les propos de son ancien coéquipier aux Cavs.
Sam Dekker n’aura partagé que 4 mois de sa vie sous les mêmes couleurs que J.R. Smith, mais est parvenu sur cette courte période à se placer comme l’unique partenaire détesté par le vétéran. C’est ce qu’on appelle un sacré rendement.