Si la saison de Boban Marjanovic et de ses Mavericks est terminée, la légende du géant continue de grandir. Dans un article consacré aux meilleures anecdotes sur lui, on retrouve notamment une histoire assez hilarante…
Vous aurez beau chercher, vous trouverez difficilement quelqu’un qui n’aime pas Boban Marjanovic. Coéquipier idéal par excellence, étendard de la bonne humeur et plutôt adroit de ses mains sur un parquet, Bobi est ce qu’on appelle un fan favorite outre-Atlantique.
Les fans ne sont pourtant pas les seuls à aimer le pivot, qui laisse aussi un souvenir indélébile à bon nombre de joueurs, coaches et exécutifs qu’il fréquente. L’un d’eux ? Andrew Loomis, membre du staff des Pistons, qui a révélé une histoire assez géniale à The Athletic :
C’est une de mes anecdotes préférées sur Boban. J’étais avec l’assistant GM des Pistons, Pat Garrity, et c’était pendant l’été. On venait d’acquérir Boban, on voulait l’intégrer. J’étais au bureau avec Pat et je lui ai dit : « Hey, je vais traîner avec Boban cet après-midi, on doit parler maisons et voitures. Il lui faut une voiture ».
Pat n’avait pas grand chose à faire, donc il m’a dit : « Ok, je viens avec vous. On va passer un peu de temps avec lui ». On va chez le concessionnaire Land Rover, et il faut savoir que Boban adore les voitures. Il connait beaucoup de choses sur elles.
La première fois de ma vie où je suis monté dans une Range Rover, c’est donc avec Boban quand il est allé faire un tour pour la tester. J’étais assis sur le siège arrière, et il a démarré comme une fusée du concessionnaire ! Ça m’a rappelé la pub avec Jeff Gordon, où le gars craint pour sa vie.
Voici la publicité en question :
Le gars qui bossait pour Land Rover était sur le siège avant, Pat et moi étions derrière à nous cramponner, en mode : « Tu dois ralentir ! » Mais il adore juste la vitesse.
Difficile de ne pas sourire en imaginant Boban Marjanovic, pourtant fraîchement arrivé dans le Michigan, lâcher de grandes accélérations avec 3 passagers pétrifiés à bord, sourire aux lèvres. Fort heureusement, tout s’est bien fini…