NBA – La phrase sauvage du Shaq pour échapper au bizutage à son arrivée dans la ligue

Comme dans de nombreux sports, le bizutage est une tradition en NBA à laquelle personne n’échappe. Personne… sauf Shaquille O’Neal, qui a révélé comment il avait évité d’être le souffre-douleur de ses coéquipiers.

Si dans le football un nouvel arrivant dans un club doit souvent « seulement » entonner une chanson à un dîner, l’art du bizutage est plus poussé en NBA. Depuis la nuit des temps, les rookies doivent en effet accomplir des corvées, souvent au service des vétérans.

Le sujet s’est invité sur le plateau d’une émission récente d’Inside The NBA, et Charles Barkley en a profité pour s’épancher sur sa propre situation de bizut.

Le Chuckster a notamment révélé que chaque matin, il devait mettre son réveil pour aller acheter le journal à Julius Erving. Une contrainte très embêtante pour l’oiseau de nuit qu’est Sir Charles, vous l’imaginez bien… Mais quelques années plus tard, Shaquille O’Neal n’a pas eu le même problème.

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C’est Scott Skiles qui en a fait les frais. Celui qui détient le record d’assists en un match avec 30 caviars était un des maillons forts du Magic de l’époque, et il pensait que le Diesel allait se plier à ses désirs. Raté. Shaq explique :

Scotty Skiles est venu et m’a dit : « Rookie, porte mes bagages ». Je lui ai dit : « Bro, je suis le franchise player. Je ne fais pas ça ». Et plus personne ne m’a jamais rien dit.

Simple, efficace, archi-confiant, et parfait… tant que c’est assumé sur le terrain. Ça tombe bien, O’Neal a signé une campagne rookie d’excellente facture avec 23.4 points, 13.9 rebonds et 3.5 contres de moyenne ! Une machine, déjà.

Sans grande surprise, celui qui peut bizuter Shaquille O’Neal n’est pas né. Scott Skiles l’a appris à ses dépens…