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La quarantaine a du être difficile pour tous les joueurs lors de l’arrivée dans la bulle d’Orlando, et plus particulièrement pour Patrick Beverley, qui a complètement craqué dans l’hôtel des Clippers à 2 heures du matin. Bizarrement, nous ne sommes pas surpris par cette histoire.
L’isolement a du être particulièrement long pour les joueurs NBA à leur arrivée à Orlando. D’ordinaire si occupés entre les entrainements, les voyages, les matchs, et toutes les opérations marketing, ils se sont retrouvés coincés dans une petite chambre à Disney World… Sacré changement d’ambiance.
Surtout que les premiers échos en provenance de la bulle n’étaient pas forcément bons… Entre JR Smith qui est arrivé dans une chambre pas faite, et les innombrables plaintes concernant la nourriture servie pendant la phase de quarantaine, l’adaptation a du être rude pour certains.
Surtout pour certaines personnalités au bord de l’hyper-activité… Par exemple, qu’a bien pu faire Patrick Beverley dans l’intimité de sa chambre en attendant la fin des 48 heures d’isolement ? Jouer à la console et dormir ? Sans doute, mais pas que.
Dans une conférence de presse organisée sur Zoom, le Neo Clipper Reggie Jackson est revenu sur sa première nuit à Disney World. D’après lui, en plein milieu de la nuit, le chien fou de Los Angeles a trouvé une activité pour le moins… bruyante ! Mais visiblement, c’était pour le bien de son groupe.
Nous étions tous coincés dans nos chambres pendant la période de quarantaine obligatoire, et vers 2 heures du matin, tout le monde a entendu quelqu’un crier : « Yooo ! Yooo ! » Tout le monde s’est demandé ce qu’il se passait et qui criait comme ça sans raison.
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En fait, c’était simplement Patrick Beverley qui criait contre les murs pour s’assurer que toute l’équipe allait bien. Nous avons tous ouvert la porte de nos chambres, nous nous sommes regardés, dit bonjour, nous avons pris quelques nouvelles.
Je pense que cette histoire a rendu la première nuit de confinement et les premières 24 heures plus faciles à vivre. Ça nous a permis de savoir que nos coéquipiers étaient tous là avec nous. C’était quelque chose de très simple, mais Pat est une constante boule d’énergie. Il est parfait avec le reste de l’équipe.
À 2h du matin, Patrick Bervely n’a donc pas eu de meilleure idée que de réveiller ses coéquipiers pour savoir si tout allait bien… Visiblement personne ne s’est plaint, et tout le monde a pris cette action un peu folle du bon côté. Ça, ou certains ont eu trop peur de dire ce qu’ils pensaient vraiment des cris du meneur…
Cette énergie sera aussi nécessaire sur le terrain si les Clippers veulent aller loin. Patrick Beverley devra motiver ses troupes, et intimider ses adversaires. Deux tâches largement dans ses cordes.
Qui d’autre que Patrick Beverley aurait pu crier ainsi dans son hôtel en pleine nuit… C’est à la fois drôle et improbable, mais ça lui ressemble tellement !
