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L’un des signes ultimes de reconnaissance en NBA, c’est d’avoir un surnom. Et dans l’histoire des Warriors, nombreux sont ceux qui ont eu la chance d’être connus de tous grâce à leur sobriquet. Retour sur les appellations les plus marquantes dans l’histoire de la franchise. On vous l’accorde, le n°1 est discutable…
5. Brian Cardinal aka « The Custodian » (le gardien d’immeuble)
Quoi de plus jouissif qu’un role player avec un surnom sorti de nulle part ? Daniel « Boobie » Gibson, Marreese « Mo Buckets » Speights, et donc Brian « The Custodian » Cardinal… Ce sobriquet, le pivot le doit au fait qu’il réalisait sur le terrain tout ce que les autres refusaient de faire. Comme ce gardien d’immeuble qui doit s’occuper de tout le bricolage pour rendre la vie des habitants meilleure…
4. Monta Ellis aka « Mississippi Bullet »
Ce surnom illustre parfaitement le joueur qu’était Monta Ellis à son prime : une arme offensive létale ! Avec sa vitesse balle en mains, et sa capacité à dégainer de n’importe où sur le terrain, le joueur originaire de Jackson dans le Mississippi était le chouchou de l’Oracle Arena avant l’avènement de Stephen Curry. Un homme qui restera à jamais dans l’esprit des fans.
3. Tim Hardaway, Mitch Richmond, Chris Mullin aka « Run TMC »
Si un surnom reste dans les esprits 30 ans après avoir été donné, c’est que c’est un surnom légendaire. Meilleur trio scoreur de la ligue en 1991, Run TMC reste aussi l’un des plus gros « et si ? » de l’histoire, ce rend forcément ces 3 coéquipiers mémorables… Et puis faire venir le mythique groupe de rap Run DMC pour introduire la triplette magique des Warriors avant un match de playoffs face aux Lakers, c’est totalement iconique.
2. Steph Curry and Klay Thompson aka The Splash Brothers
Quoi de surprenant ici ? La meilleure paire de shooteurs de l’histoire a l’un des meilleurs sobriquets. Si l’explication derrière n’a rien de bien spectaculaire, Stephen Curry et Klay Thompson on réussit à faire de ce surnom une marque connue dans le monde entier. Pendant encore de nombreuses années, le mot Splash rappellera les deux gâchettes de la Baie.
1. Corey Maggette aka « Bad Porn »
Honnêtement, « Bad Porn » est soit le meilleur surnom de tous les temps, soit le pire, mais il est presque impossible de choisir entre les deux. Et l’explication derrière ce surnom est tellement géniale, mais tellement triste pour le joueur… D’après Bleacher Report, « la justification se trouve dans le fait que Maggette pénètre énormément, rate rarement sa cible, mais quand on le regarde derrière un écran, on est jamais satisfait ». Aussi incroyable que cruelle comme description.
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Évidemment, tout le monde n’a pas pu intégrer cette liste. Mais Marreese « Mo Buckets » Speights, ou encore Michael « Air France » Pietrus avaient totalement leur place !
