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Alors que le coronavirus est venu mettre une pagaille monstre dans le monde, la NBA n’a pas échappé à la crise sanitaire. Pour passer le temps en l’absence de championnat, on vous propose de plonger au coeur d’une saison imaginaire complètement WTF… où chaque joueur doit composer avec le virus. A quoi ça ressemble ?
Janvier 2022. Alors que le monde est encore plongé en pleine pandémie de coronavirus sans toujours aucun vaccin à l’horizon, la NBA a tout de même décidé de commencer une nouvelle saison. Comment s’en sortent les différents joueurs ? Qu’est-ce qui change concrètement ? Place à 5 aspects de ce championnat complètement déjanté !
Port du masque = pas de crachat = Rondo dans la panade
Tous les joueurs doivent porter des masques pendant les matchs, Rajon Rondo ne peut donc pas cracher sur Chris Paul. C’est pas très pratique pour respirer, mais au moins ça évite les dérapages. Adam Silver envisage alors de maintenir ce dispositif jusqu’à la fin de carrière de Rondo, par mesure de prudence. Chris Paul et les autres joueurs valident, le meneur se fabrique donc son propre masque réutilisable à base d’une chaussette, 3 élastiques et un chouïa de UHU Stic & glue : il le nomme le RR9, un dérivé du FFP2.
James Harden, une décision vitale
James Harden est mis au pied du mur : soit il se rase la barbe, soit il ne joue plus car ce n’est pas conforme aux règles sanitaires avec les masques FFP2. Frustré, il demande alors conseil à Fabien Barthez, qui lui explique que finalement, les cheveux et le reste, « c’est plus du paraitre qu’autre chose ». Rassuré, il coupe donc tout et revient gober 50% des tirs à Houston. Classique.
Pas de spectateurs = pas de beef
Aucuns spectateurs ne sont présents dans les tribunes, de quoi éviter un nouveau scandale entre Russell Westbrook et des fans, que Joel Embiid s’embrouille avec son propre public à Philly ou encore qu’on vive un The Brawl 2, notamment après que Ron Artest ait décidé de revenir dans la ligue sous le nom de Metta « Dr Raoult » Peace. Il paraitrait qu’il a séjourné quelques jours à Marseille, et après une bonne bouillabaisse avec le scientifique, il lui semblait alors important de revenir prêcher la bonne parole aux Etats-Unis. Oui, c’est plus important qu’on ne croit, la soupe de poisson.
JaVale McGee, ce héros
JaVale McGee est aux anges comme jamais, lui qui ne rêve que d’attraper le coronavirus depuis le début de l’épidémie, il lèche tous les ballons, les barrières dans la salle et même la cuvette des toilettes. Il finit par contracter une nouvelle maladie neurologique, la McGeemose. Il devient alors très intelligent et se fait embaucher chez Google, avant d’en devenir le grand patron après quelques fourberies. 66 Minutes : l’enquête lui accorde même un grand format, subjugué par cette réussite. On ne le reverra plus jamais en NBA.
CJ McCollum, nouveau commando
CJ McCollum n’est toujours pas revenu jouer à Portland, il craint autant le virus qu’au tout début de l’épidémie. Pour éviter que Damian Lillard ne vienne le récupérer par la peau des fesses, il a transformé sa maison en boomker avec 300 mines anti-personnels, un régiment d’infanterie en patrouille et 5 tanks M1 Abrams prêts à riposter. Son M16 ne le lâche jamais, même la nuit, et il s’est entrainé comme un sauvage sur Battlefield.
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Voilà pour ces 5 premiers éléments constitutifs d’une saison imaginaire WTF sous le règne du coronavirus. On se retrouve très vite pour de nouvelles destinées croustillantes.
