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Dennis Rodman est un personnage haut en couleur, et au caractère bien trempé. En d’autres mots, il est la cible idéale pour tous les humoristes et les imitateurs. Un internaute s’est d’ailleurs amusé à tourner l’ancien Bulls en ridicule après son passage dans The Last Dance, et LeBron James a visiblement apprécié la moquerie.
Avec The Last Dance, Dennis Rodman est enfin de retour au premier plan pour autre chose que ses excès en tout genre, comme son voyage en Corée du Nord chez son grand ami Kim Jong-Un il y a quelques années. Si on parle de l’ancien intérieur des Bulls en ce moment, c’est avant tout pour sa saison 1997-98.
Évidemment, avec Rodman, l’extravagance n’est jamais loin, et son escapade en pleine saison à Las Vegas en a fait halluciner plus d’un cette semaine devant TLD. Ce qui ne l’a cependant pas empêché de remonter dans l’estime de beaucoup !
Car avec sa voix si particulière, ses interventions parfois lunaires, et son rire communicatif, Dennis Rodman a volé la vedette lors des épisodes 3 et 4 de la série documentaire évènement. Ce qui a inspiré Andrew Hawkins, ancien joueur NFL aujourd’hui reconverti dans les médias, à se lancer dans une imitation du « Worm ».
La gestuelle, la voix, l’égocentrisme, la recherche obsessionnelle de la douleur… C’est incroyable d’humour et de réalisme, comme le prouve la réaction de LeBron James.
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Cmon Hawk!!! 🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣 @Hawk. On the medal part of the seatbelt though?!?!?! https://t.co/TTrIwCpf6a
— LeBron James (@KingJames) May 2, 2020
Sérieux Hawk !!! 🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣 Par contre, tu veux te brûler sur la partie métallique des ceintures de sécurité ?!?!
En réagissant ainsi, le King vient en quelque sorte valider cette moquerie, ce qui fait sens, quelques jours après les commentaires assez directs de Dennis Rodman à son égard.
Ça reste de bonne guerre, et puis il faut bien reconnaître que cette imitation est de grande qualité. Le « Worm » lui-même a du apprécier, à n’en pas douter.
On espère que les épisodes restants de The Last Dance nous réservent encore d’autres grands moments avec Dennis Rodman. Perché, certes, mais c’est aussi pour ça qu’on l’aime.
