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A quelques jours de la sortie du documentaire événement « The Last Dance » sur les Bulls 1997-1998, la planète basket entière ne parle que de Michael Jordan. Même le Shaq, qui a osé une prédiction vouée à faire réagir…
Tout le petit monde de la balle orange n’attend que ça. Le 19 avril aux Etats-Unis et le 20 avril en France, les deux premiers épisodes de « The Last Dance » (sur 10 au total) seront disponibles sur Netflix. La saison NBA étant suspendue, le documentaire événement est devenu la principale attraction sur la planète basket, et une fois de plus, Michael Jordan déchaîne les foules.
Avec la hype qui ne cesse de grandir, nombreux sont les joueurs qui sont interrogés sur ces mythiques Bulls, dont la couverture médiatique et l’hystérie qui les entourait restent inégalées aujourd’hui.
De passage au micro d’ESPN, Shaquille O’Neal a évidemment évoqué le sujet, affirmant que ses Lakers des années 2000 auraient dominé les Bulls des années 1990. Après l’émission, visiblement encore travaillé par la discussion, il s’est fendu d’un post Instagram pour le moins intéressant.
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Cette fois-ci, on parle d’un duel de type fantasy, entre les meilleurs Lakers all-time, et les meilleurs Bulls all-time. Sur le papier, ça donne Magic Johnson, Kobe Bryant, LeBron James, Anthony Davis et Shaquille O’Neal, contre Derrick Rose, Michael Jordan, Scottie Pippen, Dennis Rodman et Artis Gilmore. Alors verdict ? Aucun doute pour Shaq :
Victoire des Lakers 4 à 2. Yup, je l’ai dit. Ça pourrait même être un sweep.
Jamais en manque de confiance, le Big Cactus semble sûr de son coup. Et très franchement, en voyant le 5 proposé côté Angelinos, difficile d’imaginer quiconque trouver la faille. Jordan et Pippen, certes vaillamment entouré par un D-Rose dans son prime, le soldat Rodman et l’éternellement sous-côté Artis Gilmore, feraient ici probablement face à leur plus gros challenge.
Malheureusement, et comme d’habitude dans ce genre d’affrontements fictifs, impossible de savoir ce qu’il serait advenu. Mais pour Shaq, le doute n’est pas permis.
