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Michael Jordan était-il le joueur le plus dominant de sa génération, et possiblement de l’histoire ? Oui ! Était-il une superstar à l’humilité sans faille ? Un peu moins… Un nouvel exemple raconté par un ancien coéquipier vient nous rappeler que MJ était un tueur sur le terrain, et un grand fou en dehors. Encore une histoire croustillante.
Pour atteindre le statut de GOAT, et ce dans n’importe quelle discipline, il ne suffit pas seulement d’exceller dans cette dernière. Ce qu’il faut, c’est renvoyer l’image de quelqu’un de surhumain, agir de façon unique, inédite, et bien souvent déroutante pour le grand public.
Michael Jackson serait-il devenu une icône mondiale sans la construction de Neverland ? Les Beatles seraient-ils aussi légendaires s’ils ne s’étaient pas déclarés plus populaires que Jésus à l’époque ? Dans la lignée de ces grands noms de la musique, Michael Jordan aussi a souvent agi de manière singulière, ce qui a grandement contribué à écrire sa légende.
Que ce soit en devenant accroc aux jeux d’argent durant sa carrière, en prenant une première retraite sportive en 1993 pour aller jouer au baseball, ou en privant des centaines d’enfants de chaussures neuves parce qu’il refuse de rater le moindre tir, Michael Jordan a prouvé sa différence à de nombreuses reprises.
Un nouvel exemple est d’ailleurs venu s’ajouter à cette liste déjà longue après le passage de Jared Jeffries dans le podcast Wizards Talk. Sont impliqués Jordan, Antoine Walker… et des Ferrari. Visiblement, il ne fait pas bon se faire passer pour plus riche que « Air Jordan ».
Nous étions à Chicago, dans le gymnase de l’entraîneur Tim Grover. Là, Antoine Walker débarque dans une Ferrari, et il était fier parce qu’il venait juste de l’acheter.
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Michael lui a dit : « Tu sais quoi ? Je vais venir avec une Ferrari de couleur différente tous les jours de la semaine, et j’aurai aussi un survêtement Jordan assorti. »
Et il est arrivé les 5 jours suivants en Ferrari avec un ensemble Jordan assorti. C’est le genre d’attitude qu’il avait.
Damn. Niveau démonstration de puissance, on peut très, très difficilement faire mieux. Dieu sait qu’Antoine Walker aimait dépenser énormément d’argent dans ses belles années (il a perdu les plus de 110 millions de dollars gagnés durant sa carrière, jusqu’à se retrouver sur la paille), mais même lui a du se sentir impuissant sur le coup.
On sait que tous les génies ont une part de folie, et Michael Jordan en est la preuve vivante. Malheureusement pour Walker, le n°23 des Bulls et des Wizards n’était pas d’humeur généreuse quand il l’a vu arriver dans son nouveau bolide.
S’il était dans le même mood qu’avec Adam Morrison, il lui aurait certainement offert des Ferrari, juste pour lui montrer qui est le vrai patron.
Si cette interruption semble interminable, on peut au moins se régaler des nombreuses anecdotes folles qui sortent sur MJ. On espère que les deux premières parties du documentaire qui lui est consacré seront aussi croustillantes. Réponse très vite.
