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Quand la plupart d’entre-nous récupèrent une vieille Twingo familiale en guise de première voiture, LeBron James, lui, pouvait fièrement s’afficher à bord de son propre Hummer à 18 ans. Et il s’ambiançait déjà au rythme des bangers de l’époque.
LeBron James, voiture, musique : trois concepts indissociables pour les fans du King sur Instagram. À désormais plus de 35 ans, celui-ci s’affiche toujours sur ses stories en pleine séance karaoké pendant ses trajets. Une manière de partager des séquences de sa vie privée avec sa communauté, mais également de mettre en avant ses artistes favoris, souvent flattés d’être cités par un tel « influenceur ».
Mais si vous pensiez que cette pratique est apparue chez LeBron seulement après l’avènement du réseau social, détrompez-vous. À 18 ans, alors qu’Instagram n’existait pas encore, le King faisait déjà l’objet d’une vidéo d’ESPN le montrant réciter les lyrics des rappeurs en vogue.
Mais contrairement au commun des mortels, Bron avait de quoi être fier en s’exhibant dans l’une des ses premières voitures, puisqu’il s’agissait tout simplement d’un… Hummer. Quoi de mieux comme outil pour turn up sur les hits de Jay-Z dans les rues d’Akron ?
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An 18-year-old @KingJames riding around Akron in a Hummer blasting Jay-Z 😎 pic.twitter.com/LfrGigL7hd
— ESPN (@espn) April 8, 2020
Car oui, même s’il n’avait pas encore fait ses premiers pas en NBA, le jeune James pouvait déjà se targuer de posséder une véritable maison en guise de moyen de locomotion. Bose Sound System pour écouter ses rappeurs favoris qu’étaient Jay-Z, 50 Cent et Eminem, lecteur DVD, jeux vidéo : son Hummer aurait fait un lieu de confinement parfait avec une dizaine d’années d’avance.
Néanmoins, la jeune star savait déjà se montrer de bon conseil auprès de la jeunesse. Il avoue ainsi qu’en terme de consommation d’essence, le véhicule peut rapidement vous mettre sur la paille. Fort heureusement pour lui, il a rapidement pu renflouer les comptes grâce à plus de 300 millions de dollars de gains en carrière, hors contrats publicitaires, à l’aube des années 2020.
Comme quoi, malgré toute l’expérience accumulée au fil des années, LeBron James reste toujours, sur certains points, le même adolescent insouciant qu’il était à 18 ans. Voilà peut-être la méthode pour ne jamais vieillir.
