puis dans la liste qui s’affiche, cliquez sur AdBlock
Maître incontesté dans de nombreuses catégories statistiques, Michael Jordan voit les chiffres de sa carrière encore régulièrement disséqués de nos jours. On vous propose donc 4 d’entre eux méconnus du grand public et plutôt impressionnants.
Son nombre de titres NBA, son total équivalent de trophées de MVP des Finales, où encore son record de points inscrits en un match de playoffs… Les chiffres marquants de Michael Jordan en NBA sont pléthore. Un constat on ne peut plus logique lorsque l’on est pour une grande partie des observateurs considéré comme le meilleur joueur de l’histoire.
Et tandis que certaines de ses performances et statistiques sont toujours étudiées aujourd’hui tant elles poussent à la stupéfaction, d’autres restent quelque peu dans l’oubli. Certaines peu valorisantes sont trop rares pour être soulignées, par exemple, pendant que d’autres poussent une fois de plus au respect. Focus sur ces facts méconnues concernant la carrière de Mike.
La malédiction verte
Dominateur en saison régulière dès le début de sa carrière, Jordan se montrait encore plus intraitable pendant les playoffs. Une vérité qui ne s’applique cependant pas face aux Celtics. En deux confrontations avec la franchise de Boston, il n’a ainsi remporté… aucun match : 0-3 lors du premier tour des playoffs 1986, 0-3 lors du premier tout des playoffs 1987. Un comble lorsque l’on sait qu’il a notamment inscrit 63 points dans l’une de ces rencontres.
Le meilleur adversaire de MJ ?
Le nom de Terry Cummings ne vous dit rien ? Malgré une carrière longue 18 saisons et des moyennes plus que correctes (16.4 points, 7.3 rebonds), l’ancien poste 4 de Milwaukee n’a pourtant pas forcément été retenu par l’histoire. Il peut cependant se vanter d’un accomplissement légendaire, puisqu’il est le seul à avoir présenté une meilleure moyenne de points que Jordan sur une série entière de playoffs face à lui (29.3 points pour Jordan, 29.5 pour Cummings). C’était en 1985, dans un premier tour remporté par les Bucks.
L’hégémonie de l’efficiency
Les rois de la statistique sont familiers du terme de Player efficiency rating, un calcul savant qui permet de synthétiser l’apport global d’un joueur en un seul nombre. Et dans ce domaine, Michael Jordan excellait. Il a tout simplement enchaîné six saisons en étant le leader du classement de la meilleure PER de la NBA, entre 1987 et 1993.
Playoffs Jordan et… Playoffs Davis
Pendant longtemps, Michael Jordan est resté le seul joueur à afficher une moyenne en carrière à plus de 30 points en playoffs (33.4 unités par match). Actuellement, seul Anthony Davis peut se targuer du même exploit, puisqu’il présente une moyenne de 30.5 points par matchs sur les deux campagnes de playoffs qu’il a effectué dans sa carrière. Reste à savoir s’il parviendra à maintenir ce rythme jusqu’à son départ en retraite.
Lire aussi : Les 6 meilleurs coéquipiers de Michael Jordan
Aussi peu connus qu’intéressants, ces nombres illustrent avant tout que peu d’équipes et de joueurs ont su résister à Jordan où ne serait-ce qu’afficher des statistiques similaires aux siennes.
