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La reconversion des anciens joueurs NBA n’est jamais aisée après leur retraite sportive. L’un d’entre-eux s’est cependant redirigé avec succès vers la vente légale de cannabis, et assure que les affaires n’ont jamais été aussi bonnes que depuis le début de la pandémie de Covid-19.
Avec une carrière NBA longue de 18 saisons et plus de 90 millions de dollars de revenus sur la période, Al Harrington pouvait envisager un après-carrière discret lors de son départ en retraite. Ses reconversions dans la restauration et l’hôtellerie n’ayant cependant pas fonctionné, il a décidé de se lancer dans le business de… la vente de cannabis.
Sa compagnie, Viola, s’est imposée comme l’une des références dans ce milieu, prônant les usages thérapeutiques du produit. Et face à l’épidémie de coronavirus qui prend de plus en plus d’ampleur aux États-Unis, l’ancien intérieur constate une hausse significative des ventes de son entreprise.
Une nouvelle qu’il a partagé à TMZ Sports dans une interview par écrans interposés.
Le challenge va être de s’assurer que l’on puisse satisfaire la demande désormais. Parce que, comme vous l’avez dit, les ventes grimpent en flèche ! Tout le monde fait des stocks de ses marques préférées.
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Une tendance dont il se réjouit, et qu’il compare à l’explosion d’un autre produit dans le contexte sanitaire actuel.
Toute la demande a doublé ! Je pense que c’est la même chose que pour le papier toilette, les gens font des stocks en pensant qu’ils ne seront soit pas en capacité physique d’aller s’en procurer, soit qu’il n’y en aura plus. Je pense que c’est la raison qui explique la hausse des ventes pour toutes les entreprises dans ce business.
Si la période affiche donc une part réjouissante pour les revendeurs de Viola et pour son propriétaire, les prochaines mesures que devrait prendre le gouvernement américain inquiètent malgré tout ce dernier :
La principale chose dont nous devons nous assurer, c’est que le gouvernement voit notre business comme essentiel.
Parce que beaucoup de gens utilisent le cannabis comme un traitement, et ce serait une grosse erreur s’ils décidaient d’enlever ce statut et de priver l’accès au cannabis pour la population.
Sans forcément l’avoir prévu, Al Harrington voit les chiffres de son entreprise spécialisée dans la vente de cannabis exploser les compteurs. Le coronavirus a donc du bon pour certains.
