C’est rare, voire inédit, mais James Harden a déjà eu l’honneur de voir son maillot retiré à Houston, alors même qu’il n’est pas à la retraite… Le seul problème, c’est que le n°13 ne pend pas au plafond du Toyota Center, mais à celui d’un strip club !
C’est un peu le secret de Polichinelle de la NBA : certains basketteurs sont de grands adeptes des clubs de strip-tease. Depuis des années, les joueurs des « petits marchés » aiment découvrir la vie nocturne de villes comme New York, Miami ou Los Angeles, et cela inclut souvent un passage en strip club.
Kawhi Leonard a d’ailleurs été au centre d’une petite polémique plus tôt dans la saison, quand il a été aperçu au pied d’un podium, alors qu’il devait être en « load management » ce soir-là.
Autre amateur de danseuses en tenue légère (quand tenue il y a) : James Harden. Le Barbu des Rockets a d’ailleurs été l’objet d’une étude très sérieuse démontrant qu’il joue moins bien dans les villes avec de bons clubs de strip, que dans les petites villes à la vie nocturne tranquille.
Visiblement aussi bon pour lancer des billets que pour lâcher des stepbacks sur le terrain, Harden est une légende vivante de la nuit texane. À tel point qu’un établissement a retiré son maillot ! Un animateur du réputé « Joe Budden Podcast » raconte.
Lire aussi | La drôle d’anecdote d’Isaiah Thomas avant son trade aux Clippers
« James Harden a son maillot qui pend au plafond… Les gérants du club ont fait ça parce qu’il dépensait énormément d’argent à chaque visite. Donc il lui ont offert l’honneur d’avoir son maillot accroché au plafond du strip club. »
Avec plus de 185 millions de dollars touchés en carrière (d’après le site Sportrac), James Harden a effectivement le porte monnaie assez rempli pour arroser toute une boite, et ainsi entrer dans la légende du club.
Tant que les prestations suivent sur le terrain, les fans des Rockets n’auront sans doute rien à redire sur le comportement du Barbu dans sa vie privée. Mais s’il a le malheur d’arriver un soir de playoffs en n’ayant pas les yeux en face des trous, on se doutera de la raison derrière.
Avec ces révélations, on se dit que le trade de Harden d’Oklahoma City à Houston en 2012 a eu du bon pour lui sur un autre plan que le sportif…
James Harden perpétue la ligné des arrières scoreurs adepte du pole dance. À son époque, Allen Iverson aussi était du genre à écumer les clubs.