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En feu malgré les nombreuses défaites de ses Wizards, Bradley Beal vient de rejoindre un cercle historique… de losers. Les temps sont durs pour le sniper de la capitale.
Difficile saison pour Bradley Beal. Partagé entre ses exceptionnelles performances individuelles et les nombreuses défaites de son équipe, l’arrière vit une saison contrastée, et surtout très frustrante. Il a besoin d’aide, et on espère que ses dirigeants sauront faire le nécessaire l’été prochain.
En attendant, il fait avec les moyens du bord… c’est-à-dire lui et personne d’autre, en résumé. Le shooteur des Wizards score à foison, mais il score dans le vent… Récemment, ses cartons le faisaient entrer dans l’histoire. Et encore plus récemment, il a fait encore mieux (ou pire, selon le point de vue), en rejoignant un club… de losers magnifiques.
En scorant 42 points la nuit dernière dans la défaite des Wizards face au Jazz, l’arrière a dépassé la barre des 40 points pour la 7ème rencontre consécutive. Le problème ? Son club a perdu les 7 matchs…
According to @EliasSports Bradley Beal is now the 4th player in NBA history to lose in 7 straight 40-pt games, joining Walt Bellamy, Wilt Chamberlain and Allen Iverson
— ESPN Stats & Info (@ESPNStatsInfo) February 29, 2020
He’s the 3rd player to lose 7 straight in a season, along with Bellamy and Chamberlain
He had 42 pts tonight pic.twitter.com/7uqbSI3M7I
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Bradley Beal est maintenant le 4ème joueur de l’histoire à perdre 7 matchs consécutifs durant lesquels il inscrit 40 points ou plus. Il rejoint Walt Bellamy, Allen Iverson et Wilt Chamberlain.
Il est le troisième joueur qui en perd 7 d’affilée dans une saison, aux côtés de Bellamy et Chamberlain.
Il a marqué 42 points ce soir.
Terrible constant pour Beal, qui est le seul à surnager. Il a bien pu compter sur les 15 points et 7 rebonds et Rui Hachimura et les 16 points, 2 rebonds et 3 passes décisives de Thomas Bryant la nuit dernière, mais sans aucune incidence sur le résultat final. Un peu comme Kobe durant les plus sombres années des Lakers au milieu des années 2000, Brad Beal est seul contre tous.
Il est de plus en plus agacé par la situation, à juste titre, lui qui a fait confiance à ses dirigeants l’été dernier en signant une prolongation. Pour le moment, cette confiance n’est pas récompensée, et l’arrière pourrait finir par perdre patience. La situation du club de la capitale fédérale sera à surveiller l’été prochain…
Force à Bradley Beal, qui traverse une période horriblement frustrante. Se démener sur le terrain sans être récompensé par une victoire, c’est la pire sensation pour un sportif. L’arrière a besoin d’aide, et les Wizards doivent vite agir.
