Lentement mais sûrement, on essaie de se faire à l’idée que Kobe Bryant est parti. Voici quelques citations célèbres du joueur, pour ne jamais oublier la Mamba Mentality.
Sur la recherche du succès
Quand vous faites un choix et que vous dites : « Voilà ce que je vais devenir quoi qu’il en soit », alors vous ne devriez pas être surpris quand vous le devenez. Ça ne doit pas être vu comme la preuve d’un caractère toxique, car tu visualises ce moment depuis tellement longtemps. Donc quand ce moment se produit, c’est parce qu’il est dans ton esprit depuis très longtemps, il a toujours été là.
Sur le travail d’équipe
Le plus important, c’est que tes coéquipiers doivent savoir que tu es derrière eux, que tu les soutiens et que tu souhaites qu’ils réussissent.
Sur la résilience
Je suis là. Je ne vais nulle part. Peu importe la blessure, à part si elle me rend invalide, je vais être le même joueur que j’ai toujours été. Je trouverai une solution. Je ferai des ajustements, mais je serai quand même au rendez-vous.
Tout ce qui est négatif, qu’il s’agisse de la pression, de défis, peu importe, c’est une opportunité pour moi de m’élever, de grandir.
Sur la victoire
Je ferai tout ce qui est nécessaire pour gagner des matchs. Que ce soit en secouant une serviette sur le banc, en donnant un verre d’eau à un coéquipier, ou en inscrivant le tir de la gagne.
Sur le leadership
Le plus important est d’essayer d’aider et d’inspirer les gens afin qu’ils deviennent doués dans ce qu’ils veulent faire.
Sur le travail
Je ne m’identifie pas aux gens paresseux. On ne parle pas la même langue. Je ne les comprends pas. Et je ne veux pas les comprendre.
Je n’ai rien en commun avec les gens paresseux qui blâment les autres pour leur manque de succès. Du travail et de la persévérance découlent des bonnes choses. Il n’y a pas d’excuses.
Sur la perséverance
J’ai joué avec une main cassée durant des matchs. Avec des chevilles tordues, avec une déchirure à l’épaule, une dent cassée, un genou gonflé comme un softball. Je ne manque pas 15 matchs à cause d’une blessure à un orteil qui n’était pas sérieuse.
Sur le surpassement de ses peurs
La dernière fois que j’ai été intimidé, c’était en classe de karaté quand j’avais 6 ans. J’étais ceinture orange et le professeur m’a ordonné d’affronter un ceinture noire, qui était plus âgé et plus costaud que moi. J’étais terrifié et il m’a botté le cul.
Puis j’ai réalisé qu’il ne m’avait pas botté le cul aussi violemment que je le pensais, et qu’il n’y avait pas de raison d’avoir peur. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que l’intimidation n’existait pas tant qu’on était dans le bon état d’esprit.
Sur l’échec
J’ai mes doutes. J’ai mes insécurités. Il y a certains soirs où j’arrive à la salle et je me dis : « Mon dos me fait mal, mes genoux me font mal. Je le sens pas. Je préfère me reposer ». Nous avons tous nos doutes. Il ne faut pas les renier, mais pas se laisser abattre non plus. Il faut les accepter.
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Repose en paix, Kobe.