Prétendants au titre, les Lakers pourraient bien se renforcer dans les semaines qui arrivent. LeBron James a évoqué l’arrivée d’un potentiel joueur avant la deadline.
Alors que trois trades ont vu le jour cette saison, la NBA reste néanmoins relativement calme à l’approche de la deadline. Les différents front-offices continuent de scruter le marché et jouent pour l’instant la montre. Si c’est calme pour l’instant, attendez-vous à un véritable séisme d’ici le 6 février prochain.
Les Lakers pourraient bien se joindre à ce mouvement alors que la franchise chercherait un renfort.
Dernièrement, c’est surtout le profil d’un meneur qui semble être visé. Darren Collison ou plus récemment Derrick Rose ont été liés à la franchise californienne. Du côté des départs, c’est surtout Kyle Kuzma qui est évoqué. Il faut dire que Los Angeles n’a pas beaucoup d’atouts après le trade d’Anthony Davis.
Suite au succès contre les Nets, LeBron James a été interrogé sur une éventuelle recrue.
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With the trade deadline coming up on Feb. 6th, LeBron was asked if the Lakers are "one piece away" from cementing their championship contender status. LeBron's answer was both confident, and savvy, preserving team chemistry by not suggesting weakness: "We have enough right now"
— Dave McMenamin (@mcten) January 24, 2020
Avec la trade deadline à venir le 6 février, LeBron a été demandé si les Lakers sont à « une pièce manquante » de renforcer leur statut de prétendant. La réponse de LeBron était confiante mais aussi maligne, préservant l’alchimie de l’équipe en ne soulignant pas de faiblesse : « nous avons ce qu’il faut aujourd’hui ».
C’est autre chose que Kyrie Irving n’est-ce pas ? LeBron ne dévoilera pas au public ce qu’il pense vraiment. Si le King estime qu’un renfort est nécessaire aux Lakers pour remporter le titre, ce n’est certainement aux médias qu’il va l’annoncer.
Une communication intelligente de la part de LeBron qui a l’habitude des rumeurs à l’approche de la deadline. Malgré ces commentaires, les Lakers devraient tout de même regarder de plus près le marché avant le 6 février. Une bonne affaire est peut-être à saisir.
LeBron James ne mord pas à l’hameçon. Pas question pour lui d’impacter négativement la cohésion du roster.